Ce blog a été crée par quatre élèves de la 1ES3 du LFM pour mettre en ligne toutes les avances et nouveautés de son TPE

jeudi 13 décembre 2012

SOLUTIONS DEFINITIVO

Avec la diffusion du documentaire Prêt à jeter : l'obsolescence programmés, des dizaines de milliers de consommateurs vont prendre consience de la réalité que supose l’obsolescence programmée et vont commencer à avoir un sentiment d'indignation et à se demander concrètement : que faire pour se défendre?
Les consommateurs cherchent plusieurs moyens différents pour essayer de combattre cette technique utilisée par les entreprises pour avoir plus de bénéfices. D’une part le premier réflexe quand on se rend compte de que notre lave-linge, cafétière ou écran plasma tombe en panne est d’essayer de le réparer nous-mêmes ou de l’enmener chez le fabriquant pour le faire réparer avant d’en achetter un autre. Le seul problème est que souvent les fabriquants ne proposent pas de réparation mais ils incitent à achetter un nouveau produit pour augmenter ses bénéfices. Une autre solution est d’achetter des objets durables, ceux qui présentent la plus longue garantie. De même les consommateurs devraient éviter les achats superflus des dernières nouveautés qui sont souvent les objets les plus touchés par l’obsolescence programmée.
Serge Latouche, économiste et professeur d’université propose la décroissance comme alternative a la société capitaliste de consommation qui influence et incite l’utilisation de l’obsolescence porgrammée. Cette pensée est un ensemble d’idées soutenues par des mouvements anti-productivistes, anti-consumñeristes et ecologiques qui sont des objecteurs de la croissance. Ils s’opposent aussi aux défenseurs du développement durable. Ces groupes rejettent les objectifs visant à l’augmentation du taux de  croissance économique et ils vont jusqu’à demander une réduction contrôlée. Selon eux le taux de production et de consommation ne peut pas être durablement accru ou maintenu. Ceci remet en cause le modèle de production basé sur l’obsolescence pour accroître les bénéfices, donc la croissance économique.
Le problème qui persiste a niveau écologique est celui des déchets des appareils devenus obsolètes. Greenpeace demande à ce que les entreprises assument la responsabilité financière de la gestions de ses déchets, ce coût pourrait s’ajoutter dans le prix d’achat du produit acheté par les consommateurs.
D’autres solutions présentées par cette ONG sont concevoir des appareils éléctroniques sans substances toxiques puis inciter aux gouvernements a créer des lois sur les « e-déchets ». Certains fabricantts ont déjà décidé de prendre en charge la gention de ses déchets comme Sony qui recycle le 53% de ses appareils usagés.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire