Ce blog a été crée par quatre élèves de la 1ES3 du LFM pour mettre en ligne toutes les avances et nouveautés de son TPE

jeudi 29 novembre 2012

solutions para claudia

Venons-en maintenant à la question du comment faire pour sortir de cette impasse et aller vers un modèle plus soutenable ? Au-delà des entreprises et des pouvoirs publics qui ont un rôle considérable à jouer, chaque citoyen peut y contribuer. Nous vous proposons quelques pistes, et comptons sur vos contributions pour enrichir ces propositions.
• Diminuer la perception de bien-être et de satisfaction personnelle que procure l’acquisition d’un nouveau matériel, en privilégiant des valeurs spirituelles plutôt que matérielles. Culture, convivialité, solidarité, … Cela peut sembler désuet ou révolutionnaire, mais tous ceux qui ont essayé n’ont pas fait de retour arrière ! L’idée est de « consommer mieux sans frustration ».
• Privilégier la qualité plutôt que le faible coût, équation gagnante pour l’acheteur comme pour la planète sur le long-terme.
• Passer d’une valeur de possession à une valeur d’usage, principe de base de l’économie de fonctionnalité.
• Prendre conscience de l’impact écologique insoutenable des modes de consommations des pays développés. Et rappeler que si tous les humains vivaient comme un habitant d’Europe de l’Ouest, il faudrait 2,5 planètes pour répondre à la demande, et 5 si l’on souhaite « vivre à l’américaine ».
• Accepter de bon gré une légère diminution des performances. Ce qui revient peut-être à sacrifier quelques minutes dans une journée, mais pour contribuer à un monde meilleur pour nos enfants et petits-enfants.
D’autres suggestions ? Des commentaires ?

Solutions :
Un produit qui ne s'use pas est une tragédie pour les affaires » lisait-on dès 1928 dans un magazine économique spécialisé. Aujourd'hui c'est la base de notre économie et le succès de sa formidable croissance depuis plus d'un siècle.
La croissance économique est devenue ainsi le Saint Graal, le but ultime, la quintessence de notre sacro-sainte société de consommation.

Le problème, c'est qu'à l'heure ou notre environnement/planète souffre à grande échelle de nos excès, de nos gaspillages, de nos pollutions ... il devient évident qu'une telle idéologie, basée sur la consommation à outrance, nous conduira inéluctablement dans le mur.
Arte diffusait il y a quelques semaines un remarquable reportage sur l'obsolescence programmée*.
C'est sur ce documentaire et les questions qu'il soulève que je vous propose de refléchir.

C'est au début de l'ère industrielle (début du XXème siècle) que ce concept d'obsolescence programmée est apparu.
Avec la production à la chaine et la baisse des coûts de production, les prix ont chûté pour le plus grand bonheur des consommateurs. Nous entrions dans la société de consommation, telle que nous la connaissons encore aujourd'hui.

Mais comment s'assurer que les consommateurs continuent à consommer ... une fois tous leurs besoins satisfaits ?
Une 1ère idée consiste à faire en sorte que les appareils soient conçus pour durer un certain temps, mais surtout pas trop longtemps !
Avec la crise de 1929, l'obsolescence programmée aurait même pu être adoptée comme une obligation légale. C'est ce qu'a voulu proposer, sans succès, Bernard London en 1932.

En plus de la durée de vie des appareils, déterminée dès leur sortie d'usine par les fabriquants, une 2ème approche consiste à « créer le besoin ». Grâce au marketing, à la publicité, en améliorant ou changeant le produit et son design régulièrement, il s'agit de séduire le consommateur et susciter son désir insatiable pour qu'il ait toujours envie d'acquérir le dernier modèle. C'est l'approche décrite par Brooks Stevens qui régit plus que jamais notre vie moderne de tous les jours.

Ainsi le consommateur achète souvent et très régulièrement pour remplacer ses appareils courants, que ceux-ci soient usés et cassés (1ère approche) ou obsolètes et dépassés (2ème idée).
La société de consommation fonctionne ainsi, bon gré mal gré, malgré les chahuts provoqués par les crash économiques périodiques, et va de l'avant depuis plus d'un siècle.
L'ennui, c'est que le seul et unique salut qu'a trouvé notre monde, notre société se trouve dans cette croissance économique basée sur le « produire toujours et encore plus ! »

Mais notre monde survivra-t-il à ce modèle ?
Rien n'est moins sur. En effet « celui qui croit qu'une croissance infinie est compatible avec notre planète aux dimensions et ressources finies est un fou ...». Et aujourd'hui, nos impératifs écologiques et environnementaux sont devenus des enjeux vitaux à traiter de manière globale.

Est-il possible, dès lors, d'imaginer une économie viable, sans obsolescence programmée et sans impact sur l'environnement ?

Certains pensent que oui. Et même sans adopter un point de vue radical, comme celui soutenu par Serge Latouche, des solutions ou propositions existent.
  • Pourquoi ne pas exiger des fabricants qu'ils se débarrassent eux même de leurs produits en tenant compte de l'environnement ?
  • Pourquoi ne pas augmenter de manière importante (X30 ou 40) le prix du transport. Ainsi il deviendrait rentable de produire des objets qui durent plus longtemps (plutôt que de les re-transporter plus souvent). Accessoirement cela peut aussi être considéré comme une piste pour lutter contre la délocalisation de la production dans des pays à main d'oeuvre bon marché.
  • Enfin, pour les produits qui ont nécessairement un cycle de vie court, pourquoi ne pas envisager, dès la conception du produit, et comme on le trouve naturellement dans la nature, de ne laisser que des « nutriments » plutôt que des déchets difficiles à éliminer.

* La vidéo originale :
Malheureusement il est aujourd'hui devenu impossible de retrouver ce reportage sur Arte.tv. Vous pouvez heureusement visualiser l'intégralité de ce documentaire sur Internet.
     1ère partie     2ème partie     3ème partie     4ème partie

Approfondir le sujet :
  • En finir avec la crise avec l'obsolescence programmée (En) : une proposition écrite pas Bernad London en 1932 et qui suggère de rendre cette obsolescence programmée obligatoire légalement. Une approche trop radicale qui ne sera pas suivie.
  • Brooks Stevens (En), le père fondateur qui pose les bases de notre société actuelle : la consommation est stimulée par le design et le marketing. Le but est de séduire le consommateur et susciter le désir insatiable pour le dernier modèle. L'obsolescence programmée n'est pas alors une obligation légale comme pour Bernard London mais vient du consommateur.
  • Vance Packard (Fr) écrit « The Waste Makers », une critique de l'obsolescence programmée.
  • Serge Latouche (Fr), un opposant qui milite pour "en finir avec notre société de croissance".



Benoît Hamon compte lutter contre l'obsolescence programmée dans l'industrie high-tech, qui renouvelle trop rapidement certaines gammes de pièces et de produits. Il compte en particulier consulter le Conseil national de la consommation sur ce sujet. Mais sa marge de manœuvre pour agir est bien mince.

Dans le domaine informatique, les matériels se renouvellent très vite. Les constructeurs commercialisent en effet régulièrement de nouveaux produits, allant des composants électroniques aux périphériques d'entrée et de sortie. Ce remplacement régulier des appareils et des pièces concerne aussi les dispositifs mobiles comme les smartphones et les tablettes tactiles.
Acquérir un bien plus récent pour en remplacer un autre devenu obsolète n'a évidemment pas que des aspects négatifs. En schématisant grossièrement, les achats d'un nouvel appareil permettent de financer les activités de l'entreprise, notamment en matière de recherche et de développement. Ces entrées d'argent participent au financement de l'innovation, celle-ci se répercutant ensuite sur la prochaine génération de produit.
Mais quid lorsque le renouvellement est trop soutenu, au point d'apparaître anormal ? C'est la critique en filigrane d'associations écologistes, qui jugent que le processus de remplacement des produits n'a plus rien de "naturel" dans certaines entreprises. Celui-ci serait déterminé en amont par l'entreprise, pour satisfaire un agenda économique précis. Et tant pis pour la planète ou les finances des clients.
La critique récente formulée par les Amis de la Terre à l'encontre de l'iPhone 5 n'est ainsi pas passée inaperçue. Au même moment, Benoît Hamon était interrogé par le magazine 60 Millions de consommateurs. Le ministre délégué à l'économie sociale et solidaire et à la consommation développe alors un propos résolument hostile à l'obsolescence programmée qui serait menée par certaines firmes.
"L’obsolescence des appareils est quasiment pensée au départ par les opérateurs pour favoriser le renouvellement. Or, acheter un appareil qui est destiné à être totalement démodé un an plus tard pose d’autant plus question lorsque le constructeur a lui-même organisé cette obsolescence. Cela constitue un sujet de travail et de préoccupation", explique-t-il.
Que compte faire le ministre dont l'intitulé du ministère est on ne peut plus clair ? Pour l'instant, pas grand chose. Benoît Hamon veut pour l'instant consulter le Conseil national de la consommation et déterminer les moyens pour "lutter contre cette obsolescence programmée dans le domaine du numérique". Une lutte qui passera par une mise en garde. De qui ? Des consommateurs ? Des firmes ? Il ne le précise pas.
Reste à savoir comment Benoît Hamon va pouvoir mettre le holà à la stratégie commerciale des Apple, Samsung et autres fabricants de téléphones mobiles. Une chose est sûre, la notion d'obsolescence programmée est débattue et ne convainc pas tout le monde. Elle ne recouvre d'ailleurs pas tout à fait les mêmes notions, en témoigne l'interview du ministre.
Benoît Hamon parle en effet d'une obsolescence provoquée par l'arrivée d'un bien plus récent qui ringardise l'ancien et pousse le consommateur à faire un achat dont il pourrait, a priori, se passer. La notion généralement admise de ce concept, et abordée d'ailleurs dans le documentaire très médiatisé d'Arte, Prêt à jeter, est que l'obsolescence est programmée directement dans les appareils.
Une éventualité que rejette l'économiste Alexandre Delaigue, qui considère que cette notion est un mythe et que le documentaire est "hilarant de bêtise" et "nauséabond de complotisme". Dans un long développement sur son blog, il explique que le seul cas connu pouvant s'en rapprocher est une imprimante intégrant un système ralentissant la machine au bout d'un certain nombre d'impressions).
Pour Alexandre Dalaigue, comme pour d'autres d'ailleurs, l'obsolescence programmée est techniquement impossible à mettre en place, notamment parce que les usages des produits varient selon les individus. Une machine à laver peut être utilisée une fois par semaine comme tous les jours. L'usure des pièces n'est alors pas la même et la vitesse de dégradation du matériel varie alors.
Ensuite parce que les industriels doivent trouver le juste milieu entre la longévité d'un produit et son coût de fabrication. Coût qui se répercutera ensuite sur le prix de vente final. Or, si rallonger la longévité d'un produit est possible, cela se fait au détriment d'autres qualités qui sont tout autant réclamées par les consommateurs : esthétisme, coût, poids, taille...









Pistes construisant des solutions :
Comment faire pour sortir de cette impasse et aller vers un modèle soutenable ? Au-delà des entreprises et des pouvoirs publics qui ont un rôle considérable à jouer, chaque individu peut y contribuer. Nous vous proposons quelques pistes, et comptons sur vos contributions pour enrichir ces propositions.



questions


SEXE:                       ÂGE:                      


O )    Lors d’un achat d’un produit :

( ) Tu te guide par l’opinion des gens de ton entourage
( ) Tu te guide par la publicité faite pour le
( ) Tu te guide par tes goûts.

I) As-tu regretté le fait d’avoir acheté un produit?

Non.
Oui (pourquoi)......................................................................

II) Lorsque ton produit commence a ne pas fonctionner.

( ) Tu essaye de trouver la cause
( ) Tu te presente devant les chef du produit.
( ) Laisser passer.

-Si dans la question si dessus vous avez coché la première ou la deuxième réponse, expliquer ce que vous avez fait.

.................................................................................................
.................................................................................................
.................................................................................................
.................................................................................................
.................................................................................................

III) Combien de fois es- tu allé reclamer à une entreprise les defaux d’un produit.

(  ) Aucun
(  ) Entre 1-5
(  ) Entre 5-10
(  )  Plus


IV) Sais-tu qu’est ce que l’obsolescence programmée?

( ) Non
( ) Oui, qu’est ce que sais?.......................................................................................................

V) Pense tu que tous les produits de grandes marques son qualifiés?

Non, pourquoi?
Oui, pourquoi?

video campaña obsoles.progr

video sobre la campaña sobre la obsolescencia programada

http://noestaobsoleto.wordpress.com/2010/09/14/campana-sobre-la-obsolescencia-programada-y-percibida/

source marketing

https://sites.google.com/site/applemarqueduxxiemesiecle/i-les-strategies-d-apple/a-la-creation-de-besoin-chez-le-consommateur

jeudi 22 novembre 2012

conséquence para mi


 http://www.greenit.fr/article/bonnes-pratiques/de-l-obsolescence-programmee-a-l-obsolescence-percue-comment-peut-on-lutter

majeurs à l’environnement et aux hommes ?
Au préalable, dressons un état des lieux de la situation.
Les matériels électroniques consomment de très grandes quantités de matières premières non renouvelables comme les métaux, mais aussi beaucoup de pétrole. L’épuisement des ressources naturelles est aujourd’hui un sujet très préoccupant. L’OCDE a estimé que les réserves de cuivre, plomb, nickel, argent, étain et zinc ne dépasseraient pas 30 années, l’aluminium et le fer se situant entre 60 et 80 ans. Outre les impacts directs sur la biodiversité, cette surconsommation de matières premières a des conséquences humaines et sanitaires désastreuses sur les populations locales. Elle contribue aussi largement au réchauffement climatique. Et il n’est pas exclu qu’elle devienne à l’avenir le lit de tensions géopolitiques, comme c’est déjà le cas au Congo avec le coltan.

La question des DEEE reste une préoccupation majeure tant du point social qu’environnemental. Des millions de tonnes de déchets toxiques finissent leur vie accumulés dans des décharges sauvages des pays du Sud. Au préalable, ils ont été démantelés de façon rudimentaire, souvent par des enfants, pour y récupérer les métaux précieux. Le dernier billet de GreenIT.fr sur ce sujet relate qu’en 2008, seulement 30% des DEEE avaient été traités via une filière adaptée.  A peine croyable. Sans compter que  les filières de recyclage des DEEE doivent gagner en efficacité : à la fois pour optimiser le taux de réemploi et de recyclage des composants (comme les plastiques), mais aussi pour améliorer le traitement des pollutions induites par ces opérations.
Une question basique se pose alors : pourquoi consommons-nous autant de matériels électroniques ?
La consommation de masse d’appareils électriques et électroniques a commencé au début des trente glorieuses, où elle a été encouragée à grands renforts de publicité pour doper l’économie au sortir de la guerre. A l’époque, l’idée paraissait judicieuse car personne n’avait en tête la finitude de notre planète. Puis dans les années 1990 est apparu le boom des TIC avec internet et la téléphonie mobile. On ne se souciait toujours pas de la limite des ressources, pas plus que de l’augmentation des déchets. Mais aujourd’hui, alors que les dégâts causés par l’explosion de cette consommation sont connus, on continue à renouveler toujours autant nos matériels.
Si, au final, les habitudes persistent, tel le « business as usual », c’est parce que les causes de cette obsolescence programmée sont nombreuses et difficiles à traiter :
• La recherche continue de baisse des coûts entraîne une baisse de qualité et donc une plus grande fragilité des matériels
• La difficulté à faire réparer : la complexité croissante des matériels et le manque de pièces détachées rendent les réparations de plus en plus difficiles
• La rentabilité économique de la réparation est souvent questionnable, au vu des faibles coûts d’achat du matériel neuf
• Le cercle vicieux de la course à la puissance : entre l’augmentation régulière de la puissance des ordinateurs (« acquittée » par la célèbre loi de Moore) et la course à la puissance des logiciels, c’est l’histoire de la poule et de l’œuf … A titre d’exemple, Windows 7 + Office 2010 Pro nécessitent 15 fois plus de puissance processeur, 71 fois plus de mémoire vive et 47 fois plus d’espace disque que le couple Windows 97 + Office 97
• Les fabricants et les distributeurs s’en portent bien, et cela fait beaucoup d’heureux dans une économie où le seul indicateur de croissance reste le PIB
• Plus récemment, on voit apparaître l’argument écologique de produits moins énergivores ; si cela est tout à fait vrai, il faut toutefois rappeler que l’énergie grise d’un matériel électronique est à l’origine de la majeure partie des émissions de CO2 sur l’ensemble du cycle de vie
• Aucun matériel n’affiche sa durée de vie théorique, laissant ainsi planer le doute sur un sujet quasi-tabou chez les fabricants ; seule une réglementation telle que l’affichage environnemental pourrait imposer cet affichage
• Enfin, l’attrait pour la nouveauté, alimenté par l’innovation, conduit très souvent à remplacer un matériel en parfait état de marche. On est là dans la perception d’obsolescence. Le cas est flagrant pour les téléphones mobiles qui sont remplacés en moyenne au bout de 20 mois, et au bout de 10 mois seulement chez les 12-17 ans.
Si vous ne connaissez pas encore la vidéo « The Story of Stuff », apparue sur internet fin 2007, et qui a fait le tour de la planète, c’est le moment de la découvrir. L’auteure, Annie Leonard, y dénonce le « Designed for the Dump »  (conçu pour la poubelle) des objets de grande consommation. Elle décortique avec une précision horlogère et beaucoup d’humour les aberrations qui se produisent tout  au long du cycle de vie de nos objets du quotidien. Elle constate aussi que les prix très bas ne reflètent pas la réalité car les coûts sont externalisés. Cette vidéo a depuis été déclinée en plusieurs versions thématiques, comme la bouteille d’eau en plastique ou  les matériels électroniques. Et c’est toujours aussi drôle.
Venons-en maintenant à la question du comment faire pour sortir de cette impasse et aller vers un modèle plus soutenable ? Au-delà des entreprises et des pouvoirs publics qui ont un rôle considérable à jouer, chaque citoyen peut y contribuer. Nous vous proposons quelques pistes, et comptons sur vos contributions pour enrichir ces propositions.
• Diminuer la perception de bien-être et de satisfaction personnelle que procure l’acquisition d’un nouveau matériel, en privilégiant des valeurs spirituelles plutôt que matérielles. Culture, convivialité, solidarité, … Cela peut sembler désuet ou révolutionnaire, mais tous ceux qui ont essayé n’ont pas fait de retour arrière ! L’idée est de « consommer mieux sans frustration ».
• Privilégier la qualité plutôt que le faible coût, équation gagnante pour l’acheteur comme pour la planète sur le long-terme.
• Passer d’une valeur de possession à une valeur d’usage, principe de base de l’économie de fonctionnalité.
• Prendre conscience de l’impact écologique insoutenable des modes de consommations des pays développés. Et rappeler que si tous les humains vivaient comme un habitant d’Europe de l’Ouest, il faudrait 2,5 planètes pour répondre à la demande, et 5 si l’on souhaite « vivre à l’américaine ».
• Accepter de bon gré une légère diminution des performances. Ce qui revient peut-être à sacrifier quelques minutes dans une journée, mais pour contribuer à un monde meilleur pour nos enfants et petits-enfants.
D’autres suggestions ? Des commentaires ?
Sources :
•    « L’obsolescence programmée, symbole de la société du gaspillage » rapport rédigé par Les Amis de la Terre et le CNIID (Centre National d’Information Indépendante sur les Déchets) : http://www.cniid.org/espace_telechargement/actualite/201009_rapport_OP_A…
•    http://storyofstuff.org/

para clau : les solutions

Solutions :
Un produit qui ne s'use pas est une tragédie pour les affaires » lisait-on dès 1928 dans un magazine économique spécialisé. Aujourd'hui c'est la base de notre économie et le succès de sa formidable croissance depuis plus d'un siècle.
La croissance économique est devenue ainsi le Saint Graal, le but ultime, la quintessence de notre sacro-sainte société de consommation.

Le problème, c'est qu'à l'heure ou notre environnement/planète souffre à grande échelle de nos excès, de nos gaspillages, de nos pollutions ... il devient évident qu'une telle idéologie, basée sur la consommation à outrance, nous conduira inéluctablement dans le mur.
Arte diffusait il y a quelques semaines un remarquable reportage sur l'obsolescence programmée*.
C'est sur ce documentaire et les questions qu'il soulève que je vous propose de refléchir.

C'est au début de l'ère industrielle (début du XXème siècle) que ce concept d'obsolescence programmée est apparu.
Avec la production à la chaine et la baisse des coûts de production, les prix ont chûté pour le plus grand bonheur des consommateurs. Nous entrions dans la société de consommation, telle que nous la connaissons encore aujourd'hui.

Mais comment s'assurer que les consommateurs continuent à consommer ... une fois tous leurs besoins satisfaits ?
Une 1ère idée consiste à faire en sorte que les appareils soient conçus pour durer un certain temps, mais surtout pas trop longtemps !
Avec la crise de 1929, l'obsolescence programmée aurait même pu être adoptée comme une obligation légale. C'est ce qu'a voulu proposer, sans succès, Bernard London en 1932.

En plus de la durée de vie des appareils, déterminée dès leur sortie d'usine par les fabriquants, une 2ème approche consiste à « créer le besoin ». Grâce au marketing, à la publicité, en améliorant ou changeant le produit et son design régulièrement, il s'agit de séduire le consommateur et susciter son désir insatiable pour qu'il ait toujours envie d'acquérir le dernier modèle. C'est l'approche décrite par Brooks Stevens qui régit plus que jamais notre vie moderne de tous les jours.

Ainsi le consommateur achète souvent et très régulièrement pour remplacer ses appareils courants, que ceux-ci soient usés et cassés (1ère approche) ou obsolètes et dépassés (2ème idée).
La société de consommation fonctionne ainsi, bon gré mal gré, malgré les chahuts provoqués par les crash économiques périodiques, et va de l'avant depuis plus d'un siècle.
L'ennui, c'est que le seul et unique salut qu'a trouvé notre monde, notre société se trouve dans cette croissance économique basée sur le « produire toujours et encore plus ! »

Mais notre monde survivra-t-il à ce modèle ?
Rien n'est moins sur. En effet « celui qui croit qu'une croissance infinie est compatible avec notre planète aux dimensions et ressources finies est un fou ...». Et aujourd'hui, nos impératifs écologiques et environnementaux sont devenus des enjeux vitaux à traiter de manière globale.

Est-il possible, dès lors, d'imaginer une économie viable, sans obsolescence programmée et sans impact sur l'environnement ?

Certains pensent que oui. Et même sans adopter un point de vue radical, comme celui soutenu par Serge Latouche, des solutions ou propositions existent.
  • Pourquoi ne pas exiger des fabricants qu'ils se débarrassent eux même de leurs produits en tenant compte de l'environnement ?
  • Pourquoi ne pas augmenter de manière importante (X30 ou 40) le prix du transport. Ainsi il deviendrait rentable de produire des objets qui durent plus longtemps (plutôt que de les re-transporter plus souvent). Accessoirement cela peut aussi être considéré comme une piste pour lutter contre la délocalisation de la production dans des pays à main d'oeuvre bon marché.
  • Enfin, pour les produits qui ont nécessairement un cycle de vie court, pourquoi ne pas envisager, dès la conception du produit, et comme on le trouve naturellement dans la nature, de ne laisser que des « nutriments » plutôt que des déchets difficiles à éliminer.

* La vidéo originale :
Malheureusement il est aujourd'hui devenu impossible de retrouver ce reportage sur Arte.tv. Vous pouvez heureusement visualiser l'intégralité de ce documentaire sur Internet.
     1ère partie     2ème partie     3ème partie     4ème partie

Approfondir le sujet :
  • En finir avec la crise avec l'obsolescence programmée (En) : une proposition écrite pas Bernad London en 1932 et qui suggère de rendre cette obsolescence programmée obligatoire légalement. Une approche trop radicale qui ne sera pas suivie.
  • Brooks Stevens (En), le père fondateur qui pose les bases de notre société actuelle : la consommation est stimulée par le design et le marketing. Le but est de séduire le consommateur et susciter le désir insatiable pour le dernier modèle. L'obsolescence programmée n'est pas alors une obligation légale comme pour Bernard London mais vient du consommateur.
  • Vance Packard (Fr) écrit « The Waste Makers », une critique de l'obsolescence programmée.
  • Serge Latouche (Fr), un opposant qui milite pour "en finir avec notre société de croissance".












Benoît Hamon compte lutter contre l'obsolescence programmée dans l'industrie high-tech, qui renouvelle trop rapidement certaines gammes de pièces et de produits. Il compte en particulier consulter le Conseil national de la consommation sur ce sujet. Mais sa marge de manœuvre pour agir est bien mince.

Dans le domaine informatique, les matériels se renouvellent très vite. Les constructeurs commercialisent en effet régulièrement de nouveaux produits, allant des composants électroniques aux périphériques d'entrée et de sortie. Ce remplacement régulier des appareils et des pièces concerne aussi les dispositifs mobiles comme les smartphones et les tablettes tactiles.
Acquérir un bien plus récent pour en remplacer un autre devenu obsolète n'a évidemment pas que des aspects négatifs. En schématisant grossièrement, les achats d'un nouvel appareil permettent de financer les activités de l'entreprise, notamment en matière de recherche et de développement. Ces entrées d'argent participent au financement de l'innovation, celle-ci se répercutant ensuite sur la prochaine génération de produit.
Mais quid lorsque le renouvellement est trop soutenu, au point d'apparaître anormal ? C'est la critique en filigrane d'associations écologistes, qui jugent que le processus de remplacement des produits n'a plus rien de "naturel" dans certaines entreprises. Celui-ci serait déterminé en amont par l'entreprise, pour satisfaire un agenda économique précis. Et tant pis pour la planète ou les finances des clients.
La critique récente formulée par les Amis de la Terre à l'encontre de l'iPhone 5 n'est ainsi pas passée inaperçue. Au même moment, Benoît Hamon était interrogé par le magazine 60 Millions de consommateurs. Le ministre délégué à l'économie sociale et solidaire et à la consommation développe alors un propos résolument hostile à l'obsolescence programmée qui serait menée par certaines firmes.
"L’obsolescence des appareils est quasiment pensée au départ par les opérateurs pour favoriser le renouvellement. Or, acheter un appareil qui est destiné à être totalement démodé un an plus tard pose d’autant plus question lorsque le constructeur a lui-même organisé cette obsolescence. Cela constitue un sujet de travail et de préoccupation", explique-t-il.
Que compte faire le ministre dont l'intitulé du ministère est on ne peut plus clair ? Pour l'instant, pas grand chose. Benoît Hamon veut pour l'instant consulter le Conseil national de la consommation et déterminer les moyens pour "lutter contre cette obsolescence programmée dans le domaine du numérique". Une lutte qui passera par une mise en garde. De qui ? Des consommateurs ? Des firmes ? Il ne le précise pas.
Reste à savoir comment Benoît Hamon va pouvoir mettre le holà à la stratégie commerciale des Apple, Samsung et autres fabricants de téléphones mobiles. Une chose est sûre, la notion d'obsolescence programmée est débattue et ne convainc pas tout le monde. Elle ne recouvre d'ailleurs pas tout à fait les mêmes notions, en témoigne l'interview du ministre.
Benoît Hamon parle en effet d'une obsolescence provoquée par l'arrivée d'un bien plus récent qui ringardise l'ancien et pousse le consommateur à faire un achat dont il pourrait, a priori, se passer. La notion généralement admise de ce concept, et abordée d'ailleurs dans le documentaire très médiatisé d'Arte, Prêt à jeter, est que l'obsolescence est programmée directement dans les appareils.
Une éventualité que rejette l'économiste Alexandre Delaigue, qui considère que cette notion est un mythe et que le documentaire est "hilarant de bêtise" et "nauséabond de complotisme". Dans un long développement sur son blog, il explique que le seul cas connu pouvant s'en rapprocher est une imprimante intégrant un système ralentissant la machine au bout d'un certain nombre d'impressions).
Pour Alexandre Dalaigue, comme pour d'autres d'ailleurs, l'obsolescence programmée est techniquement impossible à mettre en place, notamment parce que les usages des produits varient selon les individus. Une machine à laver peut être utilisée une fois par semaine comme tous les jours. L'usure des pièces n'est alors pas la même et la vitesse de dégradation du matériel varie alors.
Ensuite parce que les industriels doivent trouver le juste milieu entre la longévité d'un produit et son coût de fabrication. Coût qui se répercutera ensuite sur le prix de vente final. Or, si rallonger la longévité d'un produit est possible, cela se fait au détriment d'autres qualités qui sont tout autant réclamées par les consommateurs : esthétisme, coût, poids, taille...









Pistes construisant des solutions :
Comment faire pour sortir de cette impasse et aller vers un modèle soutenable ? Au-delà des entreprises et des pouvoirs publics qui ont un rôle considérable à jouer, chaque individu peut y contribuer. Nous vous proposons quelques pistes, et comptons sur vos contributions pour enrichir ces propositions.
  

Comment s’opposer ?

Le consommateur-citoyen peut se sentir démuni face à ces pratiques, surtout lorsque tous les producteurs d’un même secteur les utilisent, rendant impossible le choix d’un produit plus durable que les autres.
A l’échelle individuelle, on peut cependant agir en cherchant systématiquement des solutions de réparation avant d’envisager le remplacement d’un objet. Cette démarche s’apparente parfois à un parcours du combattant, mais elle permet de soutenir une profession – celle de l’artisan- réparateur – directement touchée par la mise en place à grande échelle de l’obsolescence programmée. Le recensement des structures ou artisans proposant de la réparation ou de l’achat d’occasion peut d’ailleurs constituer une action intéressante à proposer au niveau de la commune ou de la communauté de communes, dans le cadre des programmes locaux de prévention des déchets.
A un niveau plus global, le Cniid porte plusieurs demandes visant à faire cesser ces pratiques et à mettre la logique économique en cohérence avec la réalité environnementale : affichage de la durée de vie des produits, extension de la garantie légale, obligation de rendre disponibles les pièces détachées à un coût raisonnable. Le comité de la prévention du ministère du Développement durable a annoncé récemment le lancement d’une réflexion sur la durée de vie des produits. Nul doute que les industriels affûtent déjà leurs armes...



jeudi 15 novembre 2012

les consommateurs

Les consommateurs:

Cette pratique ne se limite pas aux produits consommables et aux pièces dérivées. Le même mécanisme d'obsolescence indirecte est possible également pour l'industrie des services et des logiciels. Par exemple, en juillet 2006, Microsoft abandonne le service d'après-vente et de maintenance corrective pour les logiciels Windows 98 et Millenium14. Cette décision implique que, depuis cette date, les bogues et les failles de sécurité ne sont plus corrigés par Microsoft15. Effet secondaire : les consommateurs vont se débarrasser du vieux matériel incapable de faire tourner les versions récentes de Windows (quantité de mémoire vive insuffisante, etc.).

http://fr.wikipedia.org/wiki/Obsolescence_programm%C3%A9e
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La Commission Européenne est en charge du sujet mais les différents lobbys seront certainement très efficaces pour faire capoter toute décision d’importance et l’arrêt stricte de cette pratique mortifère pour l’humanité. Il existe un groupe Facebook  pour soutenir les consommateurs contre l’infamie que représente l’obsolescence programmée.

http://blogs.mediapart.fr/blog/stephanie-marthely-allard/090912/lobsolescence-programmee-contre-lhumanite





Les associations de consommateurs qui réclament une meilleure information sur la qualité et la longévité des produits, enfin les entreprises européennes qui trouvent là un moyen de récupérer une partie de la confiance perdue et surtout un élément pour prendre l’avantage sur les produits émanant d’entreprises majoritairement américaines ou asiatiques.

http://www.liberation.fr/economie/2012/10/28/l-obsolescence-programmee-un-gachis-organise_856569

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una chica de facebook respondiendo a este articulo.

Laura Can:
Très bon article de Libération sur le sujet, peut vous aider pour diffuser l'info. Par ailleurs, moi même travaillant au Cniid, notamment sur ce sujet là, je peux vous confirmer qu'il y a déjà un projet de loi (B Hamon) + une proposition de loi (JV Placé, EELV) qui sortiront en 2013. L'un des axes les plus importants est l'allongement de la durée de garantie de 2 à 10 ans. Quand ces lois seront au Parlement c'est vraiment là qu'il faudra interpeller nos députés et sénateurs pour qu'ils les soutiennent. Tenez vous prêts !

http://www.facebook.com/groups/115666728571951/


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Benoît Hamon compte lutter contre l'obsolescence programmée dans l'industrie high-tech, qui renouvelle trop rapidement certaines gammes de pièces et de produits. Il compte en particulier consulter le Conseil national de la consommation sur ce sujet. Mais sa marge de manœuvre pour agir est bien mince.


http://www.numerama.com/magazine/23723-benoit-hamon-veut-lutter-contre-l-obsolescence-programmee-dans-le-numerique.html

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esto es lo de cons.




C'est l'attitude des consommateurs qui est responsable de ce système, à savoir qu'ils aiment changer
régulièrement de biens et de services, souvent dans l'espoir d'améliorer leurs conditions de vie.

Ce phénomène se rapproche de celui de  la mode . C'est elle qui dicte à bon nombre de gens ce qu'ils doivent acheter et surtout quand. Dans un système où les biens seraient durables, on les utiliserait jusqu'à ce qu'ils soient usés ou cassés. La tendance actuelle vestimentaire serait alors peut-être celle des années 90 avec tout ce que cela implique pour les entreprises productrices.
Ce sont donc elles qui créent la mode, qui pensent aux nouveautés et qui provoquent le besoin irrépressible chez le consommateur de s'approprier la dernière innovation. Ce fut notamment le cas avec la première tablette tactile plébiscité. Aucun besoin n'avait alors été détecté quant à l'utilité d'un tel appareil. La campagne publicitaire a donc su insuer cette nouvelle mode qui a conquis bon nombre d'adeptes.





RESUMEN BREVE DEL VIDEO

Il existe peu d'exemples avérés de ces «sabotages» organisés. Le documentaire Prêt à jeter  (1) en cite quelques-uns. Il y a l'histoire, en 1924, du «cartel Phoebus» : alors que les ampoules électriques tiennent en moyenne 2 500 heures, les fabricants limitent leur existence à 1 000 heures. Dans les années 40, le bas nylon subit le même sort. La fibre miracle de Du Pont de Nemours s'avère trop solide pour la santé des affaires. Quelques manipulations chimiques plus tard, les bas filent à nouveau. Plus récemment, une puce bloquait les imprimantes Epson après 18 000 copies…

HISTORIQUE DEFINITIVO

OBSOLESCENCE PROGRAMMÉE HISTOIRE:

“Un produit qui ne s'use pas est une tragédie pour les affaires” lisait-on dès 1928 dans un magazine économique spécialisé. C'est au début de l'ère industrielle (début du XXème siècle) que ce concept d'obsolescence programmée est apparu.

L’ampoule électrique, a été le premier object touché par l’obsolescence programmée. Á la fin 1924 à Gèneve les principaux producteurs d’ampules des pays industrialisés comme Philips, General Electric et Osram ont fondé le cartel Pheobus SA qui cherchait a limiter la durée de vie des ampoules à 1.000 heures. Il rassemblait les statistiques sur la durée de vie moyenne et imposait des amendes aux fabricants qui dépassaient les 1.500 heures d’utilisation pour ses ampoules. Ce cartel est devenu assez efficace. Alors que la durée de vie moyenne des ampoules atteignait 2.500 heures en 1924, en deux ans la durée ne surpassait plus 1.500 heures et quelques années plus tard elle ne s’élevait pas plus des 1.000 heures. En 1942 le cartel est découvert, et le Gouvernement américain porte plainte contre General Electric et d’autres fabricants pour entente sur les prix, concurrence déloyale et limitation de la durée des ampoules. En 1953, les producteurs sont condamnés à lever ces restrictions, mais en réalité rien n’a changé. Les producteurs s’engagent a fabriquer une ampoule qui aurait une durée de vie de 100 000 heures, mais le filament longue durée prévu pour durer 100.000 heures n’a jamais été commercialisé.

Lors de la Grande Dépression aux Etats-Unis, un homme d’affaires, Bernard London, a proposé de limiter la durée de vie légale des biens de consommation pour faire impulser l’industrie dans un ouvrage intitulé “La Nouvelle prospérité”. C’est la première fois qu’est apparue la notion “d’obsolescence programmée”. Elle remonte à un chapitre publié sous le titre “Ending the Depression Through Planned Obsolescence” (“Mettre fin à la grande crise au moyen de l'obsolescence programmée”) Il y constate que, sous l'effet de la crise économique, les Américains avaient laissé de côté leur habitude de se débarrasser de leurs biens avant qu'ils ne veillissent et qu'ils s'étaient mis à conserver biens plus longtemps que ne prévu par les statisticiens. C’est pour cela que Bernard London veut mettre en place la “Loi d’obsolescence”. Les gens pourraient renvoyer leurs appareils à un organisme national pour qu'ils soient recyclés, cependant les personnes qui garderait un objet plus longtemps qu'il était autorisé devraient payer une amende. Il pense que c'est la solution pour résoudre la crise de l'Amérique après 1929, elle permet le plein emploi et stimulerait la croissance. Finalement l'obsolescence programmée ne fut jamais imposée par une loi mais le concept fut repris en 1950 et cette fois il séduirait les consommateurs avec Brook Stevens.

En 1950 l’obsolescence programmée fait l'objet de débats dans les colonnes de la revue Industrial Design et sera popularisée par le designer industriel Brooks Stevens. Comme ses prédécesseurs, il souhaite de renouveler les objets tous les ans à travers la mode. Il produit de nombreux objets (voitures, motos, tondeuses, aspirateurs et autres articles ménagers) dont les modèles sont sans cesse renouvelés. Selon Stevens, il faut “inculquer à l'acheteur le désir de posséder quelque chose d'un peu plus récent, un peu meilleur et un peu plus tôt que ce qui est nécessaire”. Il crée la société Brooks Stevens Design qui a été très importante pour l’économie des années 50.

Dans les années 1960, l'obsolescence devient courante. Le constructeur automobile Volkswagen lance même une campagne de publicité sur ce thème. Actuellement l’obsolescence est la base de la croissance économique et de la production industrielle, mais les consommateurs commencent a se rendre compte de cette stratégie et surtout commencent a réagir face à elle.

OBSOLESCENCE PROGRAMMÉE DÉFINITION

OBSOLESCENCE PROGRAMMÉE DÉFINITION
L'obsolescence , est un phénomène économique employé par les entreprises depuis le début du XX siècle.
"Obsolescence: Pour un bien, c'est le fait d’être déprécié, caduque pour des raisons différente de celles de son usure physique, ces raisons sont liées au progrès technique, à l’évolution des comportements humains , de la mode etc." Dictionnaire Le petit Rober 2008
L'obsolescence programmée regroupe l'ensemble des outils utilisés par les entreprises pour réduire la durée de vie ou d'utilisation d'un produit dans le but augmenter et de accélérer le taux de remplacement des produits, pour forcer le consommateur a renouveler et acheter les produits avec plus de fréquence .
Grâce a cette stratégie le secteur industriel bénéficie d'une production plus importante, qui stimule les gains de productivité , créant une économie d’échelle. Le progrès technique est totalement adapté dans la mesure où il est utilisé afin d’accélérer l'obsolescence des produits. Cette technique permet d’avoir un renouvellement constant de la demande . Cette astuce économique s'effectue en introduisant un dispositif dans le produit pour le mettre hors d'usage après une durée d'utilisation déterminée. La plupart des produits qui existent dans l'actualité sont gérés par cette manœuvre . Du fer à repasser, jusqu’aux chaussettes, en passant par les imprimantes, les téléphones, les ordinateurs, les voitures, etc presque tout les produits nécessaires à la vie courante d'un ménage. Tous les produits passent par le même mode de production.
Cette ruse fait profiter uniquement "le mécanisme du profit économique" .Celle-ci entraine toutes sortes de déséquilibres absurde tant au niveau de la planète que pour l'homme . Elle implique un effort de recherche et développement, qui n'a pour but ni d'améliorer la qualité, ni l'usage du produit. L'obsolescence programmée encourage la consommation sans limites.
Cette stratégie à beaucoup de risques tels que de porter préjudice à la réputation du fabricant attaquant son image de marque, de plus elle implique un pari sur les parts de marché futures de la firme, c'est à dire prévoir des produits de remplacements. Nous savons que cette technique ne peut être qu'employé a durée indéterminé du a ses conséquences au niveau de la planète et pour l'homme.

Il existe différentes plusieurs sortes d’obsolescence programmée. Certaines impliquent l'ajout “des défauts” de production au produit vendu ; d’autres plus psychologiques on pour but d'attaquer , de dévaloriser l’image du produit auprès des consommateurs en attaquant la marque. Parmi celles-ci : l'obsolescence par péremption , qui a lieu dans le domaine alimentaire, l'obsolescence esthétique, puis enfin l'obsolescence indirecte puis par incompatibilité.


MARKETING

En plus de la durée de vie des appareils, déterminée dès leur sortie d'usine par les fabriquants, une 2ème approche consiste à « créer le besoin ». Grâce au marketing, à la publicité, en améliorant ou changeant le produit et son design régulièrement, il s'agit de séduire le consommateur et susciter son désir insatiable pour qu'il ait toujours envie d'acquérir le dernier modèle. C'est l'approche décrite par Brooks Stevens qui régit plus que jamais notre vie moderne de tous les jours.

CONSOMATEURS

Un informaticien possédant une imprimante Epson, lorsque celle-ci a brusquement cessé de fonctionner, s’est rendu compte que la durée de vie d’une imprimante était fixée dès le départ par les ingénieurs. Après quelques recherches sur le net, il a vu qu’il n’était pas le seul à avoir ce problème.
Il s’est alors lancé dans une enquête qui l’a amené à contacter le service client et à se rendre dans divers magasins pour faire réparer son imprimante. Mais les réponses qu’il reçut étaient surprenantes : tous lui ont répondu qu’il était préférable d’acheter une nouvelle imprimante, car cela revenait à moins cher.
Toutefois, il ne s’est pas laissé décourager et a surfé sur des forums à la recherche d’une solution.
Puis, il a finalement trouvé une réponse à son problème : une puce EEPROM mémorise le nombre de pages imprimées (en l’occurrence 18 000, pour son imprimante). Une fois ce nombre dépassé, l’imprimante se bloque automatiquement : elle n’imprime plus rien et affiche le message « une pièce de l’imprimante doit être changée ».
En cherchant encore un peu, il a découvert un petit logiciel libre russe qui lui a permis de remettre ce compteur à 0. Une fois le logiciel exécuté, son imprimante s’est mise à fonctionner sans problème.

 Les consommateurs:

Cette pratique ne se limite pas aux produits consommables et aux pièces dérivées. Le même mécanisme d'obsolescence indirecte est possible également pour l'industrie des services et des logiciels. Par exemple, en juillet 2006, Microsoft abandonne le service d'après-vente et de maintenance corrective pour les logiciels Windows 98 et Millenium14. Cette décision implique que, depuis cette date, les bogues et les failles de sécurité ne sont plus corrigés par Microsoft15. Effet secondaire : les consommateurs vont se débarrasser du vieux matériel incapable de faire tourner les versions récentes de Windows (quantité de mémoire vive insuffisante, etc.).

http://fr.wikipedia.org/wiki/Obsolescence_programm%C3%A9e
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La Commission Européenne est en charge du sujet mais les différents lobbys seront certainement très efficaces pour faire capoter toute décision d’importance et l’arrêt stricte de cette pratique mortifère pour l’humanité. Il existe un groupe Facebook  pour soutenir les consommateurs contre l’infamie que représente l’obsolescence programmée.

http://blogs.mediapart.fr/blog/stephanie-marthely-allard/090912/lobsolescence-programmee-contre-lhumanite





Les associations de consommateurs qui réclament une meilleure information sur la qualité et la longévité des produits, enfin les entreprises européennes qui trouvent là un moyen de récupérer une partie de la confiance perdue et surtout un élément pour prendre l’avantage sur les produits émanant d’entreprises majoritairement américaines ou asiatiques.

http://www.liberation.fr/economie/2012/10/28/l-obsolescence-programmee-un-gachis-organise_856569

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una chica de facebook respondiendo a este articulo.

Laura Can:
Très bon article de Libération sur le sujet, peut vous aider pour diffuser l'info. Par ailleurs, moi même travaillant au Cniid, notamment sur ce sujet là, je peux vous confirmer qu'il y a déjà un projet de loi (B Hamon) + une proposition de loi (JV Placé, EELV) qui sortiront en 2013. L'un des axes les plus importants est l'allongement de la durée de garantie de 2 à 10 ans. Quand ces lois seront au Parlement c'est vraiment là qu'il faudra interpeller nos députés et sénateurs pour qu'ils les soutiennent. Tenez vous prêts !

http://www.facebook.com/groups/115666728571951/


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Benoît Hamon compte lutter contre l'obsolescence programmée dans l'industrie high-tech, qui renouvelle trop rapidement certaines gammes de pièces et de produits. Il compte en particulier consulter le Conseil national de la consommation sur ce sujet. Mais sa marge de manœuvre pour agir est bien mince.


http://www.numerama.com/magazine/23723-benoit-hamon-veut-lutter-contre-l-obsolescence-programmee-dans-le-numerique.html

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esto es lo de cons.




C'est l'attitude des consommateurs qui est responsable de ce système, à savoir qu'ils aiment changer
régulièrement de biens et de services, souvent dans l'espoir d'améliorer leurs conditions de vie.

Ce phénomène se rapproche de celui de  la mode . C'est elle qui dicte à bon nombre de gens ce qu'ils doivent acheter et surtout quand. Dans un système où les biens seraient durables, on les utiliserait jusqu'à ce qu'ils soient usés ou cassés. La tendance actuelle vestimentaire serait alors peut-être celle des années 90 avec tout ce que cela implique pour les entreprises productrices.
Ce sont donc elles qui créent la mode, qui pensent aux nouveautés et qui provoquent le besoin irrépressible chez le consommateur de s'approprier la dernière innovation. Ce fut notamment le cas avec la première tablette tactile plébiscité. Aucun besoin n'avait alors été détecté quant à l'utilité d'un tel appareil. La campagne publicitaire a donc su insuer cette nouvelle mode qui a conquis bon nombre d'adeptes.





RESUMEN BREVE DEL VIDEO

Il existe peu d'exemples avérés de ces «sabotages» organisés. Le documentaire Prêt à jeter  (1) en cite quelques-uns. Il y a l'histoire, en 1924, du «cartel Phoebus» : alors que les ampoules électriques tiennent en moyenne 2 500 heures, les fabricants limitent leur existence à 1 000 heures. Dans les années 40, le bas nylon subit le même sort. La fibre miracle de Du Pont de Nemours s'avère trop solide pour la santé des affaires. Quelques manipulations chimiques plus tard, les bas filent à nouveau. Plus récemment, une puce bloquait les imprimantes Epson après 18 000 copies…

SOLUTIONS

Pourtant, des solutions existent : intégrer dans le prix de l’objet tous ces coûts, utiliser des matériaux bio-dégradables, et enfin la décroissance.

SOURCES

http://blog.aygalenq.net/post/pretAjeter
http://www.commentreparer.com/pages/voir/id/15/Agir-contre-l-obsolescence-programmee-les-solutions

en esta pagina web entra todo

http://framabearn.tuxfamily.org/public/L_obsolescence_programmee.pdf

jeudi 8 novembre 2012

I-Entreprise

Marketing:
http://framabearn.tuxfamily.org/public/L_obsolescence_programmee.pdf
1-
 http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89conomie_d%27%C3%A9chelle#.C3.89conomie_d.27.C3.A9chelle_et_marketing
C'est pour cette raison qu'il est de la co-responsabilité du service marketing de stimuler des offres caractérisées par l'aptitude à générer des économies d'échelle.Le marketing est souvent initiateur des nouvelles offres.
2- http://www.universalis.fr/encyclopedie/publicite/4-publicite-et-societe/

3- L’effet de mode, l’attrait pour la nouveauté sont des phénomènes produits ou nourris par la publicité et qui sont désormais utilisés pour accélérer le renouvellement d’équipements jugés autrefois indémodables et sur lesquels il est difficile de faire valoir un quelconque argument de progrès technologique. Ainsi, pour continuer à vendre des grille-pains, une solution commerciale efficace consiste à créer de nouvelles gammes chaque saison, et de susciter dans le même temps chez le consommateur le besoin d’assortir l’appareil aux nouvelles tendances de la décoration intérieure…

Production:
Dans l’industrie, la loi des rendements des décroissants: Lorsque l'entreprise augmente un facteur de production ( par exemple le travail) et que l'autre facteur de production ne varie pas, la productivité marginale devient décroissante au-delà d'un certain seuil: chaque travailleur supplémentaire produit moins que le précédent. A terme la production risque de décroître.
Seule l'augmentation de l'autre facteur (ici le capital) permettra d'augmenter la productivité.
Dans la réalité les rendements restent constants si l’entreprise augmente tous les facteurs de production voire sont croissants grâce aux effets d’échelle.

Les effets d’échelle se produisent lorsque la production augmente et que les coûts fixes sont importants. L’augmentation de l’échelle de production permettra de mieux répartir ces coûts sur chaque produit et ainsi faire baisser le coût moyen de production. Par exemple, faire voler un avion représente un fort coût fixe (carburant, équipage….), l’intérêt de la compagnie aérienne est donc de remplir l’avion pour diviser ce coût fixe par le nombre élevé de passager (quitte à vendre plus de places que celles disponibles pour être sûre que l’avion sera rempli, cette pratique se nomme surbooking). 
L'entreprise cherchera à diminuer les les coûts moyens de production.

Coût moyen
= coût total (= coûts fixe+ coûts variables) / quantité produite

La naissance des 2 concepts, l'apparition des chaînes de production à grande échelle et la volonté des constructeurs de renouveler rapidement les produits sortis de l'usine étant étroitement liés et sont inhérents au concept même de l'obsolescence programmée.
La naissance des 2 concepts, l'apparition des chaînes de production à grande échelle et la volonté des constructeurs de renouveler rapidement les produits sortis de l'usine étant étroitement liés et sont inhérents au concept même de l'obsolescence programmée.

(wikipedia+ http://economie.trader-finance.fr/economie+d+echelle/)


Politique:
1-
La política de sa empresa es un conjunto de normas o reglas establecidas por la dirección de la misma para regular diferentes apartados del funcionamiento de la empresa. . Estas normas en ningún momento pueden contradecir ninguna legislación laboral.. 
-Rien ne se répare, il faut racheter à cause de la surproduction
- économie d’échelle:

(wikipedia+ http://economie.trader-finance.fr/economie+d+echelle/)
- La durée de vie des produits est fixée par les ingénieurs dès le départ grâce aux puces misent dans ceux-ci. (imprimentes) Après l’utilisation de la quantité préétablie l’objet se bloque et ne fonctionne plus.
- stimulant les gains de productivité (économies d'échelle) et le progrès technique (qui accélère l'obsolescence des produits antérieurs).
- le mécanisme du profit économique ”=une technique économique
- « Ne - Pas croître pour satisfaire les besoins mais croître pour croître » Serge Latouche.
- nouvelles valeurs et nouveaux objectifs, les bien sont plus fragiles « utilisez et jeter » (designer, ingénieurs) à nouvelle génération de consommation.


- contraire avec pays du sud où tout ce répare.
http://www.google.es/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=4&ved=0CDgQFjAD&url=http%3A%2F%2Fperso.univ-lyon2.fr%2F~frecon%2FMASTER_1%2FStrategie.doc&ei=kp6bUKy0O9L14QTG-YGgBQ&usg=AFQjCNEw_fJ7Qc2LCKemripyVOpAUvdvlQ&sig2=SVFQ-IoKgRDS8PFx9F5GpQ
stratégie:
types d'obscolescence=strategie de production
- Obsolescence par péremption ( appliqué au domaine alimentaire) . on présente une date à laquelle le produit sera consideré comme périmé .
- Obsolescence indirecte : manque de compléments sur le marché, par exemple les lecteurs vinyles dans la mesure ou il est difficile de se procurer des cd vinyles désormais.
- Obsolescence esthétique : certains produits sont rendus obsolescents par ”effet de mode ” . Entreprises utilisent les moyens de communication (Internet, radio, Télévision) afin de créer de nouvelles modes et de discréditer d’autres.
- Obsolescence par incompatibilités : observé dans le domaine informatique, certains produits sont rendus obsolescents par le simple fait qu’ils ne peuvent plus être utilisés avec les nouveaux produits lancés. C est lexemple des logiciels, des systèmes d’exploitations,
 
Obsolescence par péremption
Certains produits possèdent une date de péremption à partir de laquelle ils sont annoncés comme « périmés ». Cela s’applique principalement aux aliments et aux boissons, qui ont une date limite de consommation ou une date limite d’utilisation optimale, ainsi qu’aux produits cosmétiques, pharmaceutiques et chimiques. Cependant, dans certains cas, les produits restent utilisables après cette date. Par exemple, un aliment ayant une date limite d’utilisation optimale risque de voir ses qualités organoleptiques diminuées au-delà de la date indiquée, tout en restant consommable sans risque pour la santé. Une date limite de consommation est par contre plus stricte, car elle indique un risque pour la santé du consommateur s’il utilise le produit au-delà.
L’ignorance de la différence entre date limite d’utilisation optimale et date limite de consommation peut psychologiquement soit entraîner des mises à la poubelle prématurées, soit des prises de risques inconsidérées.


Obsolescence indirecte
Certains produits deviennent obsolètes alors qu’ils sont totalement fonctionnels de par le fait que les produits associés ne sont pas ou plus disponibles sur le marché. C’est le type d’obsolescence programmée le plus courant en ce qui concerne les téléphones mobiles : un téléphone en parfait état devient inutilisable lorsque sa batterie ou son chargeur ne sont plus offerts sur le marché, ou simplement parce que racheter une batterie neuve serait économiquement non rentable. Certains fabricants vont jusqu’à souder la batterie des appareils électroniques pour pousser au renouvellement de l’équipement quand la batterie ne fonctionne plus10. De la même façon certaines imprimantes deviennent de facto obsolètes lorsque le fabricant cesse de produire les cartouches d’encre spécifiques à ces modèles. On peut également citer l’exemple d’un moteur de voiture rendu inutilisable du simple fait qu’il est impossible de trouver des pièces de rechange. Autre exemple, les traceurs à plumes, dont la plupart fonctionnent encore parfaitement, mais dont les outils de traçage ne sont plus fabriqués.
L’arrêt de la production de pièces détachées est un levier puissant à la disposition des industriels. Le choix d’abandonner la production ou la commercialisation des produits annexes (cartouches, pièces détachées, batteries, etc.) complique la tâche de maintenance et de réparation, jusqu’à la rendre impossible.
Cette pratique ne se limite pas aux produits consommables et aux pièces dérivées. Le même mécanisme d’obsolescence indirecte est possible également pour l’industrie des services et des logiciels. Par exemple, en juillet 2006, Microsoft abandonne le service d’après-vente et de maintenance corrective pour les logiciels Windows 98 et Millenium11. Cette décision implique que, depuis cette date, les bogues et les failles de sécurité ne sont plus corrigés par Microsoft. Par cette mesure, Microsoft incite ses clients à acheter la nouvelle version de son système d’exploitation ou de sa suite bureautique tous les deux ans12.[citation nécessaire] Effet secondaire : les consommateurs vont se débarrasser du vieux matériel incapable de faire tourner les versions récentes de Windows (quantité de mémoire vive insuffisante, etc.) ou les recycler en serveurs Linux.
Le fait que les spécifications ne soient pas toutes communiquées, ainsi que des demandes de brevets (comme sur la gestion des noms longs) empêchant des tiers de satisfaire la même demande13, représentent une pression supplémentaire.


Obsolescence par notification
Proche de l’obsolescence indirecte, l’obsolescence par notification est une forme évoluée d’« auto-péremption ». Elle consiste à concevoir un produit de sorte qu’il puisse signaler à l’utilisateur qu’il est nécessaire de réparer ou de remplacer, en tout ou en partie, l’appareil. On peut citer l’exemple des imprimantes qui avertissent l’utilisateur lorsque les cartouches d’encre sont vides. En soi ce mécanisme n’est pas un mécanisme d’obsolescence. Cependant si les cartouches ne sont pas complètement vides lorsque le signal est émis, il s’agit bel et bien d’une obsolescence programmée de la cartouche.
L’aspect insidieux de ce type de péremption forcée réside dans l’interaction entre deux produits : dans l’exemple de l’imprimante, un produit « consommable » (la cartouche) est déclaré obsolète par un autre produit (l’imprimante elle-même). Cette technique est plus efficace lorsque le constructeur produit à la fois la machine et les recharges.
On peut aussi noter le cas des imprimantes affichant un message d’erreur bloquant leur fonctionnement normal (« réservoir d’encre usagée plein ») et où le fabricant n’assure aucun service et invite à renouveler le matériel. L’utilisateur se retrouve avec une imprimante qui ne fonctionne plus et il ne peut aller au-delà de ce message. L’imprimante s’est ainsi rendue inutilisable elle-même et l’utilisateur est contraint de renouveler son matériel ou de nettoyer son imprimante et d’utiliser un logiciel permettant de remettre le compteur d’impressions à zéro.
La Communauté européenne a en revanche interdit désormais la commercialisation de cartouches d’encre à puce électronique refusant tout service après un certain nombre de pages (même après remplissage d’encre), n’y voyant pas d’intérêt pour le consommateur et moins encore pour l’écologie des pays.


Obsolescence par incompatibilité
Principalement observée dans le secteur de l’informatique, cette technique vise à rendre un produit inutile par le fait qu’il n’est plus compatible avec les versions ultérieures. Dans le cas d’un logiciel, le changement de format de fichier entre deux versions successives d’un même programme suffira à rendre les anciennes versions obsolètes puisque non compatibles avec le nouveau standard.
Les changements de formats ou de standards sont souvent nécessaires pour prendre en compte les innovations d’un produit. Cependant ils peuvent aussi être provoqués artificiellement.
On retrouve encore une fois ce type d’obsolescence dans les imprimantes, dans lesquelles les cartouches qui ne sont pas ou plus produites par le fabricant ne peuvent être remplacées efficacement. La raison en est que les cartouches fournies par le fabricant disposent d’un circuit d’identification indiquant à l’imprimante que c’est bien une cartouche officielle. Si ce n’est pas le cas, l’imprimante refusera d’imprimer ou imprimera avec une qualité moindre. Pour parer à cela, il existe des logiciels permettant de passer outre cette protection de l’industriel et permettre l’usage de cartouches reconditionnées (à la maison, ou par des professionnels). À noter que certains vendeurs fournissent directement des cartouches génériques reprogrammées pour simuler une cartouche officielle à moindre coût pour l’utilisateur final.
Du côté d’Apple, le même phénomène se produit. En effet, en 2011, le nouveau système d’exploitation Lion n’intègre plus de module Rosetta qui permettait d’exécuter les programmes compilés pour un processeur Power PC sur un Mac équipé d’un processeur Intel. Ceci se traduit par une incompatibilité des programmes compilés avant 2006. Par ailleurs, la période de 2006 à 2011 est appelé période de transition car les développeurs ont été encouragés à abandonner le Power PC pour l’Intel. Cependant, tous n’ont pas fait ce pas et des programmes datant de cette période ne peuvent être exécutés sur Lion14. L’abandon de Rosetta est contesté car lors du passage de Snow Leopard à Lion, les programmes Power PC devinrent inutilisables. De plus, bien que les programmes les plus populaires aient été convertis, il reste une importante ludothèque, inutilisable aujourd’hui.


Obsolescence esthétique
Certains produits (notamment les chaussures et les vêtements) subissent une obsolescence subjective. Les modes vestimentaires et les critères d’élégance évoluent rapidement et les vêtements perdent leur valeur simplement parce qu’ils ne sont plus « à la mode ». Certains fabricants exploitent ce principe en lançant des opérations marketing et des campagnes publicitaires dont le but est de créer des modes et d’en discréditer d’autres. À noter tout de même l’effet « boomerang » de l’obsolescence esthétique : un objet qualifié de démodé pourrait très bien revenir au goût du jour quelques années plus tard. 


 
DEVELOPPEMENT TECHNOLOGIQUE DES E.:
Il est important de prendre en compte que l'obsolescence programmée permet un fort développement technologiques grâce à la nouveauté et à l'innovation. Cela va pouvoir générer plus bénéfice.Ces changements rapides leur permet de toujours garantir de meilleurs produits. De ce fait, le niveau de vie des consommateurs augmente à chaque innovation car les produits seront de plus en plus complexes, améloriés et plus complets.









  

PLUSIEURS TYPES D’OBSOLESCENCE : (EN LA DEFINICION SOLO NOMBRARLOS Y DETALLARLOS EN LA ENTREPRISE)

Obsolescence par péremption
Certains produits possèdent une date de péremption à partir de laquelle ils sont annoncés comme « périmés ». Cela s’applique principalement aux aliments et aux boissons, qui ont une date limite de consommation ou une date limite d’utilisation optimale, ainsi qu’aux produits cosmétiques, pharmaceutiques et chimiques. Cependant, dans certains cas, les produits restent utilisables après cette date. Par exemple, un aliment ayant une date limite d’utilisation optimale risque de voir ses qualités organoleptiques diminuées au-delà de la date indiquée, tout en restant consommable sans risque pour la santé. Une date limite de consommation est par contre plus stricte, car elle indique un risque pour la santé du consommateur s’il utilise le produit au-delà.
L’ignorance de la différence entre date limite d’utilisation optimale et date limite de consommation peut psychologiquement soit entraîner des mises à la poubelle prématurées, soit des prises de risques inconsidérées.


Obsolescence indirecte
Certains produits deviennent obsolètes alors qu’ils sont totalement fonctionnels de par le fait que les produits associés ne sont pas ou plus disponibles sur le marché. C’est le type d’obsolescence programmée le plus courant en ce qui concerne les téléphones mobiles : un téléphone en parfait état devient inutilisable lorsque sa batterie ou son chargeur ne sont plus offerts sur le marché, ou simplement parce que racheter une batterie neuve serait économiquement non rentable. Certains fabricants vont jusqu’à souder la batterie des appareils électroniques pour pousser au renouvellement de l’équipement quand la batterie ne fonctionne plus10. De la même façon certaines imprimantes deviennent de facto obsolètes lorsque le fabricant cesse de produire les cartouches d’encre spécifiques à ces modèles. On peut également citer l’exemple d’un moteur de voiture rendu inutilisable du simple fait qu’il est impossible de trouver des pièces de rechange. Autre exemple, les traceurs à plumes, dont la plupart fonctionnent encore parfaitement, mais dont les outils de traçage ne sont plus fabriqués.
L’arrêt de la production de pièces détachées est un levier puissant à la disposition des industriels. Le choix d’abandonner la production ou la commercialisation des produits annexes (cartouches, pièces détachées, batteries, etc.) complique la tâche de maintenance et de réparation, jusqu’à la rendre impossible.
Cette pratique ne se limite pas aux produits consommables et aux pièces dérivées. Le même mécanisme d’obsolescence indirecte est possible également pour l’industrie des services et des logiciels. Par exemple, en juillet 2006, Microsoft abandonne le service d’après-vente et de maintenance corrective pour les logiciels Windows 98 et Millenium11. Cette décision implique que, depuis cette date, les bogues et les failles de sécurité ne sont plus corrigés par Microsoft. Par cette mesure, Microsoft incite ses clients à acheter la nouvelle version de son système d’exploitation ou de sa suite bureautique tous les deux ans12.[citation nécessaire] Effet secondaire : les consommateurs vont se débarrasser du vieux matériel incapable de faire tourner les versions récentes de Windows (quantité de mémoire vive insuffisante, etc.) ou les recycler en serveurs Linux.
Le fait que les spécifications ne soient pas toutes communiquées, ainsi que des demandes de brevets (comme sur la gestion des noms longs) empêchant des tiers de satisfaire la même demande13, représentent une pression supplémentaire.


Obsolescence par notification
Proche de l’obsolescence indirecte, l’obsolescence par notification est une forme évoluée d’« auto-péremption ». Elle consiste à concevoir un produit de sorte qu’il puisse signaler à l’utilisateur qu’il est nécessaire de réparer ou de remplacer, en tout ou en partie, l’appareil. On peut citer l’exemple des imprimantes qui avertissent l’utilisateur lorsque les cartouches d’encre sont vides. En soi ce mécanisme n’est pas un mécanisme d’obsolescence. Cependant si les cartouches ne sont pas complètement vides lorsque le signal est émis, il s’agit bel et bien d’une obsolescence programmée de la cartouche.
L’aspect insidieux de ce type de péremption forcée réside dans l’interaction entre deux produits : dans l’exemple de l’imprimante, un produit « consommable » (la cartouche) est déclaré obsolète par un autre produit (l’imprimante elle-même). Cette technique est plus efficace lorsque le constructeur produit à la fois la machine et les recharges.
On peut aussi noter le cas des imprimantes affichant un message d’erreur bloquant leur fonctionnement normal (« réservoir d’encre usagée plein ») et où le fabricant n’assure aucun service et invite à renouveler le matériel. L’utilisateur se retrouve avec une imprimante qui ne fonctionne plus et il ne peut aller au-delà de ce message. L’imprimante s’est ainsi rendue inutilisable elle-même et l’utilisateur est contraint de renouveler son matériel ou de nettoyer son imprimante et d’utiliser un logiciel permettant de remettre le compteur d’impressions à zéro.
La Communauté européenne a en revanche interdit désormais la commercialisation de cartouches d’encre à puce électronique refusant tout service après un certain nombre de pages (même après remplissage d’encre), n’y voyant pas d’intérêt pour le consommateur et moins encore pour l’écologie des pays.


Obsolescence par incompatibilité
Principalement observée dans le secteur de l’informatique, cette technique vise à rendre un produit inutile par le fait qu’il n’est plus compatible avec les versions ultérieures. Dans le cas d’un logiciel, le changement de format de fichier entre deux versions successives d’un même programme suffira à rendre les anciennes versions obsolètes puisque non compatibles avec le nouveau standard.
Les changements de formats ou de standards sont souvent nécessaires pour prendre en compte les innovations d’un produit. Cependant ils peuvent aussi être provoqués artificiellement.
On retrouve encore une fois ce type d’obsolescence dans les imprimantes, dans lesquelles les cartouches qui ne sont pas ou plus produites par le fabricant ne peuvent être remplacées efficacement. La raison en est que les cartouches fournies par le fabricant disposent d’un circuit d’identification indiquant à l’imprimante que c’est bien une cartouche officielle. Si ce n’est pas le cas, l’imprimante refusera d’imprimer ou imprimera avec une qualité moindre. Pour parer à cela, il existe des logiciels permettant de passer outre cette protection de l’industriel et permettre l’usage de cartouches reconditionnées (à la maison, ou par des professionnels). À noter que certains vendeurs fournissent directement des cartouches génériques reprogrammées pour simuler une cartouche officielle à moindre coût pour l’utilisateur final.
Du côté d’Apple, le même phénomène se produit. En effet, en 2011, le nouveau système d’exploitation Lion n’intègre plus de module Rosetta qui permettait d’exécuter les programmes compilés pour un processeur Power PC sur un Mac équipé d’un processeur Intel. Ceci se traduit par une incompatibilité des programmes compilés avant 2006. Par ailleurs, la période de 2006 à 2011 est appelé période de transition car les développeurs ont été encouragés à abandonner le Power PC pour l’Intel. Cependant, tous n’ont pas fait ce pas et des programmes datant de cette période ne peuvent être exécutés sur Lion14. L’abandon de Rosetta est contesté car lors du passage de Snow Leopard à Lion, les programmes Power PC devinrent inutilisables. De plus, bien que les programmes les plus populaires aient été convertis, il reste une importante ludothèque, inutilisable aujourd’hui.


Obsolescence esthétique
Certains produits (notamment les chaussures et les vêtements) subissent une obsolescence subjective. Les modes vestimentaires et les critères d’élégance évoluent rapidement et les vêtements perdent leur valeur simplement parce qu’ils ne sont plus « à la mode ». Certains fabricants exploitent ce principe en lançant des opérations marketing et des campagnes publicitaires dont le but est de créer des modes et d’en discréditer d’autres. À noter tout de même l’effet « boomerang » de l’obsolescence esthétique : un objet qualifié de démodé pourrait très bien revenir au goût du jour quelques années plus tard.

Concequences ecologiques


Cette stratégie a également un impact écologique direct. L'obsolescence programmée visant la surconsommation, elle est la cause d'un surplus de déchets, indépendamment de l'état de fonctionnement effectif des produits techniques mis au rebut ou de l'état d'usure des objets d'usage. Les circuits de recyclage ou de conditionnement des matières plastiques et des métaux, en particulier, ne prennent pas en charge le stockage des déchets informatiques, malgré l'abondance de matières premières de valeur qu'ils peuvent contenir (fer, aluminium, mais aussi tantale pour les condensateurs et métaux rares, etc.). L'exportation en masse de déchets des pays de grande consommation vers des zones géographiques où le stockage est négociable à moindre coût est d'autant plus problématique et expose classiquement les pays receveurs à des pollutions spécifiques sur les sites de décharge de grande envergure. Des tonnes de déchets (techniquement en état de marche) sont ainsi abandonnées dans des zones de la planète qui leur servent de dépotoir (par exemple au Ghana ou en Inde et bien d’autres zones dans le monde), et qui se retrouvent dès lors gravement polluées.

politica de la empresa : deficion

La política de sa empresa es un conjunto de normas o reglas establecidas por la dirección de la misma para regular diferentes apartados del funcionamiento de la empresa. Estas normas pueden incluir desde el comportamiento de los empleados ante clientes hasta la forma de vestir de los trabajadores. Estas normas en ningún momento pueden contradecir ninguna legislación laboral.

politique : economie d'echelle chap &

http://framabearn.tuxfamily.org/public/L_obsolescence_programmee.pdf

III a)Solution

http://www.numerama.com/magazine/23723-benoit-hamon-veut-lutter-contre-l-obsolescence-programmee-dans-le-numerique.html

L'ENTREPRISE: (resumen video+definition)

Le but: empêcher les biens de durer et pouvoir en vendre encore plus. Ce dispositif peut être électronique (un puce qui compte le nombre de page imprimée puis "bloque" votre imprimante), ou mécanique (pièce en plastique plutôt qu'en acier, etc).


Lorsqu’une pièce ne fonctionne plus, l’ensemble du produit devient inutilisable. Si le coût de réparation, constitué du prix de la pièce de remplacement, du coût de la main d’œuvre (en particulier dans les pays développés) et des frais de transport, s’avère supérieur au prix d’un appareil neuf vendu dans le commerce, il devient alors onéreux de vouloir réparer l’appareil endommagé.
L’utilisation de plastique au lieu du métal fera en sorte que le produit se brisera plus facilement.


Politique des entreprises
- general motors: voiture plus fragile mais plus esthétique: attraction pour le consommateur
-Rien ne se répare, il faut racheter à cause de la surproduction
- économie d’échelle
- La durée de vie des produits est fixée par les ingénieurs dès le départ grâce aux puces misent dans ceux-ci. (imprimentes) Après l’utilisation de la quantité préétablie l’objet se bloque et ne fonctionne plus.
- stimulant les gains de productivité (économies d'échelle) et le progrès technique (qui accélère l'obsolescence des produits antérieurs).
- le mécanisme du profit économique ”=une technique économique

types d'obscolescence=strategie de production
- Obsolescence par péremption ( appliqué au domaine alimentaire) . on présente une date à laquelle le produit sera consideré comme périmé .
- Obsolescence indirecte : manque de compléments sur le marché, par exemple les lecteurs vinyles dans la mesure ou il est difficile de se procurer des cd vinyles désormais.
- Obsolescence esthétique : certains produits sont rendus obsolescents par ”effet de mode ” . Entreprises utilisent les moyens de communication (Internet, radio, Télévision) afin de créer de nouvelles modes et de discréditer d’autres.
- Obsolescence par incompatibilités : observé dans le domaine informatique, certains produits sont rendus obsolescents par le simple fait qu’ils ne peuvent plus être utilisés avec les nouveaux produits lancés. C est lexemple des logiciels, des systèmes d’exploitations,

EXEMPLES :
- Apple : Cette entreprise est dénoncée en décembre 2003 car la batterie des ipods dure seulement 18 mois. Un accord est mis en place : les batteries auront une garantie sur 2 ans avec un service de remplacements des batteries, les plaignants sont dédommagés et reçoivent un cheque de 50 000 dollars à dépenser sur des produits Apple. De même Apple ne fait pas attention à l’environnement et se dit écologique.

jeudi 1 novembre 2012

synthèse de la video "prêt à jeter" ( http://www.youtube.com/watch?v=2PdX-2rGBSc )


HISTORIQUE :
O.P commence avec la révolution industrielle car la production en série est moins chère (économie d’échelle). La mise en place du fordisme aide à son développement grâce à la production en chaîne. De plus Ford innove et maintenant de nouveaux modèles sortent chaque année, ce qui fait tourner l’économie. Ainsi les anciens modèles sont rapidement retirés du marché.
Crise de 1929 : il n’y a plus de travail.
Bernard London (no se como se llama exactamente), veut en finir avec la dépression et veut faire de l’O.P une stratégie obligatoire, mais ne fut pas appliquée. L’O.P seras mis est proposée dans l’Amérique de l’après guerre. Les gens deviennent de plus en plus modernes et veulent du nouveaux. -->développement de supermarché+hypermarché.
Dans les années il y a un débat sur l’O.P car certaines personnes ne sont pas d’accords sur l’acceptation de cette stratégie. Depuis l’O.P est la base de la croissance.

CONCEPT O.P :
- Elle détermine nos vies.
-Rien ne se répare, il faut racheter à cause de la surproduction
- « Ne - Pas croître pour satisfaire les besoins mais croître pour croître » Serge Latouche.
- nouvelles valeurs et nouveaux objectifs, les bien sont plus fragiles « utilisez et jeter » (designer, ingénieurs) à nouvelle génération de consommation.
- O.P est enseigné dans les universités, écoles de commerces,…
- économie d’échelle
- La durée de vie des produits est fixée par les ingénieurs dès le départ grâce aux puces misent dans ceux-ci. Après l’utilisation de la quantité préétablie l’objet se bloque et ne fonctionne plus.
- contraire avec pays du sud où tout ce répare.
- organisations contre, combattre O.P.
- Mais si l’O.P est supprimée les prix augmenteraient mais auraient une plus grande durabilité.
- Pour certains il faut remettre en cause le système économique et le changer entièrement. à Programme de décroissance : réduire surproduction, surconsommation et réduire l’empreinte écologique. Serge Latouche.

EXEMPLES :
- ampoule : elles peuvent avoir une durée de vie de 100 ans, plus tard 2500 heures puis en 1940 1000 heures. Ils doivent quand mêmes respecter certaines normes car si non ils seront contraints à certaines pénalités. En 1942 les Américains portent plaintes et le nombre d’heures des ampoules est légèrement augmenté même si cela n’auras aucun impact sur les entrepreneurs de celles-ci.
- nylon : Les bas en nylon sont très résistants au départ, incassables et donc marchaient très biens. Mais CAD que les dames en achèteront peu car ne s’use jamais donc aucune nécessité d’en avoir plusieurs paires. Après la guerre, la longévité des bas est modifiée, ils sont moins résistants. Ce changement est progressif, rien n’est fait d’un seul coup : moins en moins résistants et de plus en plus fins. Le fil éternel disparaît.
Certains ingénieurs se frustrent car ils doivent concevoir des produits de qualité inférieure.
- Apple : Cette entreprise est dénoncée en décembre 2003 car la batterie des ipods dure seulement 18 mois. Un accord est mis en place : les batteries auront une garantie sur 2 ans avec un service de remplacements des batteries, les plaignants sont dédommagés et reçoivent un cheque de 50 000 dollars à dépenser sur des produits Apple. De même Apple ne fait pas attention à l’environnement et se dit écologique.

-IMPACT SUR L’ENVIRRONEMENT :
- Les produits sont expédiés dans les pays du tiers-monde. Même s’il y a un traité qui interdit les déchets électroniques dans ses pays. Mais les entreprises les détournent comme des articles d’occasion. Ils mettent en avant dans les conténaires une dizaine d’articles en bonne état pour tromper les douaniers. Ces décharges illégales contiennent 80% de déchets irréparables. Le reste est réparé est réutilisé dans ces pays du tiers-monde. Ce sont « les poubelles du monde ».
-L’économie de gaspillage n’a plus de place pour placer ses déchets.
-Maintenant le monde financier et le monde écologique va ensemble à responsabilité sociétale.