
Ce blog a été crée par quatre élèves de la 1ES3 du LFM pour mettre en ligne toutes les avances et nouveautés de son TPE
jeudi 20 décembre 2012
para claudia links les conséquences
Sources:
http://www.zdnet.fr/actualites/le-ghana-nouvelle-decharge-electronique-de-l-occident-selon-greenpeace-39382672.htm
http://www.geo.fr/environnement/actualite-durable/le-ghana-poubelle-pour-les-e-dechets-25740
http://www.cniid.org/espace_telechargement/actualite/201009_rapport_OP_A…
http://www.greenit.fr/article/bonnes-pratiques/de-l-obsolescence-programmee-a-l-obsolescence-percue-comment-peut-on-lutter
mercredi 19 décembre 2012
jeudi 13 décembre 2012
LA STRATÉGIE, UNE ARME PAFAITE? (definitivo) hay que ajouter lo de marie de lasd consequences
La
stratégie: une arme parfaite?
L'entreprise
est à l'origine de toute cette stratégie mise en place en 1924 avec
la surproduction d'ampoules. De nouvelles
valeurs et de nouveaux objectifs, les biens sont plus fragiles
«utilisez et jeter». Cette technique économique signifie le
mécanisme du profit économique.
L'industrie
a-t-elle subit des modifications par rapport à l'organisation?
Dans
le domaine de la production il existe une loi implicite: «la loi des
rendements décroissants» : lorsque l'entreprise augmente un facteur
de production (par exemple le travail) et que l'autre facteur de
production ne varie pas, la production marginale (représente la
variation de la production engendrée)devient décroissante au-delà
d'un certain seuil: chaque travailleur supplémentaire produit moins
que le précédent. A terme la production risque de décroître.
Seule l'augmentation de l'autre facteur (ici le capital) permettra
d'augmenter la productivité.
Les
rendements sont croissants si l'entreprise augmente tous les facteurs
de production grâce aux effets d'échelle. L'effet d'échelle a lieu
lorsque la production augmente et que les coûts fixes sont
importants. Ainsi cela va permettre de baisser les coûts moyens. Par
exemple, pour l'entreprise Apple les coûts fixes sont élevés pour
produire des iPods (salariés, bureaux,...), donc l'intérêt de
l'entreprise est de vendre le plus de produits possibles pour diviser
ce coût fixe par le nombre d' iPods vendus.
→coût
moyen= coût total(= coûts fixes + coûts variables) / quantité
produite.
Nous
pouvons rétorqué que l'économie d'échelle est presque obligatoire
pour les entreprises exerçant l'obsolescence programmée.
L'apparition
des chaînes de production à grande échelle est un concept
étroitement lié à la volonté des fabricants à renouveler les
produits rapidement. Cependant l'automatisation industrielle a permis
un grand progrès dans la conception et la fabrication des produits.
Tout en satisfaisant les exigences toujours plus sévères des
consommateurs. Les contrôles de plus en plus réguliers obligent les
entreprises à respecter certaines règles pour continuer la
production.
Ce
progrès n'aurait pas été possible sans les nouvelles technologies
concernant la production et les importations en provenance des pays
en voie de développements où le coût du travail est plus bas car
le prix des produits industriels est élevé. C'est une des raisons
pour lesquelles les réparations sont de plus en plus négligeaient
dans les pays riches car elle est fort coûteuse à cause du prix
élevé du travail.
De
plus elle doit s'adapter aux cycles de production et de consommation.
L'entreprise doit respecter les différentes étapes de chaque cycle.
Cycle
de production:

Cycle
de consommation:

La réalisation de cette stratégie, mis en place par
les ingénieurs, les techniciens et les ouvriers a été reçu de
manière très négative, comme une insulte au travail. Ils
s'efforcent d'atteindre la perfection, d'éviter les défauts et
d'offrir le meilleur rapport qualité-prix.
Selon
Serge Latouche, un économiste français: «Ne Pas croître pour
satisfaire les besoins mais croître pour croître» Serge Latouche.
Le
marketing est aussi très lié à cette production à grande échelle.
Il est à l'origine de nouvelles offres caractérisé par l'aptitude
à générer des économies d'échelles. La publicité agit de
plusieurs façons pour vendre ses produits: elle s'appuie sur la
consommation de masse ainsi que sur la façon dont elle expose ses
images et son message. Pour cela, beaucoup d'études sont faites sur
la cible déjà envisagée ( âge, sexe, groupes sociaux,...) et
comment adapté le produit à l'individu selon la saison, les
goûts,... Un des atout majeur de la publicité est la mode:
l’attrait pour la nouveauté. La nouveauté est très recherchée
par les consommateurs qui veulent toujours renouveler leurs produits
en fonction de la société et du milieu qui les entoure. C'est ,
pour cela, un autre argument pour accélérer le renouvellement
d'équipements qui auraient put être jugés autrefois indémodables.
Ainsi, pour continuer à vendre des produits, une solution
commerciale efficace consiste à créer de nouvelles gammes chaque
saison . Apple fabrique chaque année des iPods différents, les
clients voudront acheter le nouvel iPod le plus vite possible car
c'est «du nouveau», c'est un atout de modernité. Mais il faut
faire attention car les objets les plus à la mode peuvent être
victime d'une forte obsolescence programmée.
On
peut aussi préciser que cela dévoile que ce consommateur peut se
permettre de s'acheter ce produit. Ce qui n'est pas le cas pour tous,
encore moins pendant une crise mondiale comme celle que nous sommes
en train de vivre.
Une
deuxième approche de la part des fabricants est de créer un besoin.
Cette deuxième approche est instaurée à travers l'innovation
complète et régulière. A la recherche de la
perfection esthétique et technologique des produits, dans une
logique d’innovation constante et suite à la stratégie
commerciale (pub, communication...). Le
consommateur
sera ainsi séduit pour éveiller un désir chez lui d'acquérir le
dernier modèle·
Cette
approche est appliqué aux adultes et aux enfants; les adultes
pourront être spectateur des derniers modèles par exemple à la
télévision et les plus petits à travers leurs jouets.
Il
existe différents types d'obsolescence; donc différentes stratégies
de production.
- Obsolescence par péremption( appliqué au domaine alimentaire) .Certains produits possèdent une date de péremption à partir de laquelle ils sont annoncés comme « périmés ». Cela s’applique principalement aux aliments et aux boissons, qui ont une date limite de consommation ou une date limite d’utilisation optimale, ainsi qu’aux produits cosmétiques, pharmaceutiques et chimiques. Même s'il y peut y a une date de péremption, dans quelques produits, le produit reste utilisable et mangeable. C'est-à-dire qu'un produit n'ayant été consommé avant la date de péremption restera consommable mais ses qualités organoleptiques (=propre à agir sur les récepteurs sensoriels) diminueront à partir de la date signalée. Une date limite de consommation est plus stricte, après celle-ci il peut y avoir un risque pour la santé du consommateur s’il utilise le produit.
L'ignorance de ces différentes dates peut avoir des conséquences. Le produit peut être jeter à la poubelle étant encore consommable, soit il peut y avoir des risques parfois inconsidérés.
- Obsolescence indirecte :Certains objets deviennent obsolètes quand après un moment donné ils ne sont plus disponibles sur le marché. Il est très courant surtout dans le domaine des téléphones portables. Après quelque temps (souvent assez court) les batteries et les chargeurs ne sont plus à la vente, donc l'utilisateur de celui-ci ne peut plus l'utiliser. Il y a certes, quelques exceptions, la batterie ou,... est encore sur le marché mais tellement cher qu'il est plus rentable d'acheter un nouveau téléphone. Nous pouvons rajouter, en plus des batteries des téléphones que les batteries des Ipods ne sont plus fabriqués dutout. La tâche de réparation est paralysée et devient impossible.
- Obsolescence esthétique :Ce type d'obsolescence n'est pas programmable, elle est stratégiquement définie à l'avance mais ne proviens pas de la durée de vie du produit. C'est une obsolescence subjective. Les modes vestimentaires et les critères d’élégance évoluent rapidement et les vêtements perdent leur valeur simplement parce qu’ils ne sont plus « à la mode ». Les fabricants profitent de ces modes pour mettre en place des stratégies de marketing pour créer de nouvelles modes et d’en discréditer d’autres. Même si l’effet « boomerang » de l’obsolescence esthétique (:un objet qualifié de démodé), pourrait très bien revenir au goût quelques années plus tard.
- Obsolescence par notification : C'est une forme d'obsolescence assez similaire à l'obsolescence l'indirecte. Le produit est conçu pour avertir l'utilisateur de le remplacer ou de le réparer ou de le reconstitué en partie. Au-delà de cette «date» le produit deviendra inutilisable. L'entreprise Apple fabrique des ordinateurs Mac qui au bout d'un certains temps vous avertis de changer la batterie en cas de problème. Même si, à cause de l'obsolescence programmée, ces batteries ne se trouvent plus sur le marché. Donc vous devez changer d'appareil e vous en procurant un nouveau. Pour les imprimantes, la Communauté européenne a en revanche interdit désormais la commercialisation de cartouches d’encre à puce électronique refusant tout service après un certain nombre de pages (même après remplissage d’encre), n’y voyant pas d’intérêt pour le consommateur et moins encore pour l’écologie des pays.
- Obsolescence par notification : Cette obsolescence se retrouve souvent dans le secteur informatique, pour les logiciels. C'est une technique qui convoite à rendre un produit inutilisable étant donné qu'il n'est plus compatible avec les nouvelles versions. Dans le cas d’un logiciel, le changement de format de fichier entre deux versions successives d’un même programme suffira à rendre les anciennes versions obsolètes puisque non compatibles avec le nouveau standard. Du côté d'Apple Itunes (= iTunes est un lecteur multimédia et sauvegarde du contenu multimédia développé par Apple pour jouer, organiser et synchroniser iPods, iPhones, iPads et de la musique achat.) . Les premiers Ipods etaient compatibles avec les premières versions, c'est-à-dire que l'utilisateur parvenait à faire passer de la musique de itunes à son ipod. Ce n'est plus le cas avec les dernières versions. Il faut constater qu'itunes a subis plus de 60 modifications depuis son début. (la dernière mise en place le 29 novembre 2012). Sans oublier que les modes se renouvellent de plus en plus vite, la garantie de l'objet du service après-vente est de plus en plus courte. Ainsi le consommateur pour perdre moins d'argent devras acheter un nouveau modèle de l'objet. Le nouvel objet sera ainsi moins cher, plus esthétique et plus moderne!
Il
est important de prendre en compte que l'obsolescence programmée
permet un fort développement technologiques grâce à la nouveauté
et à l'innovation. Cela va pouvoir générer plus de bénéfice. Ces
changements rapides leur permet de toujours garantir de meilleurs
produits. De ce fait, le niveau de vie des consommateurs augmente à
chaque innovation car les produits seront de plus en plus complexes,
améloriés et plus complets. L'obsolescence a eu un bon
fonctionnement jusqu'à maintenant: une économie d'échelle mise en
place que le marketing a pris en compte pour la publicité et en
ayant créé des différentes obsolescences en fonction du type de
produit et du marché. Tout ceci a provoqué des conséquences tantôt
environnementales, que sociales et politiques.
les consommateurs
LES CONSOMMATEURS:
En Janvier 2011, il y avait très peu de gens qui savaient ce que signifiait l’«obsolescence programmée». Toutefois, le documentaire Pret à jetter a était imposée avec force, et le terme a était saisie dans le dictionnaire commun et tout le monde parler su sujet. "conçu pour ne pas durer ». Alors le débat s'est déplacé vers les réseaux sociaux et devint de nos jours le sujet de tendance mondiale.
Mais à travers ce documentaire non seulement on dégage une stratégie des grandes entreprises délibérément de réduire la durée de vie d'un produit et d'augmenter sa consommation, mais nous avons également appris l'existence des entrepreneurs qui cherchent à lancer de nouvelles entreprises avec de grandes solutions pour faire face à l'obsolescence programmée, cela est un nouveau courant où chaque jour on rencontre de nouveaux individus approuvant cette incitative.
Ignasi Cubina, directeur de la croissance intelligente Eco, un pionnier de consultation mise en œuvre de la philosophie du «Cradle to Cradle» en Espagne, explique ce qui motive son travail: «L'idée n'est pas que la production économique doit diminuer mais ce que nous proposons, c'est de produire d’autrement. "
En quoi consiste de produire d’autrement ? L'idée est simple, c’est de utiliser les matières réutilisables ou qu’elles peuvent se réutiliser d’autrement sans perdre sa qualité.
En Espagne, le start-up des entreprises qui travaillent sous ces initiatives sont chaque fois plus
Importante. L’Hotel Empúrie est le premier hôtel où le spa est construit entièrement de matériaux recyclés. Il utilise l’eau de pluie, des panneaux solaires pour fournir de énergie et sur les toits sont couverts de plantes qui protègent de la chaleur et du froid.
UN EXEMPLE LA BATTERIE:
Dans le monde de l'électronique, la batterie est l'un des meilleurs candidats à se décomposer.
Malgré les avancées technologiques de ces dernières années, les plus grands producteurs sont souvent obligés de rappeler les articles défectueux avec des piles, suite à des plaintes d'organisations de consommateurs, comme FACUA, qui en plus d'une occasion, a appelé à une enquête sur continuer à défaut de piles.
Les experts conviennent que la détérioration d'une batterie doit être progressive. Dans ce sens, le risque Teresa croit "il est évident que l'obsolescence est applicable aux batteries" parce que "c'est très rare" que la nuit fréquemment besoin d'être rechargée.
Cette «mort subite» des batteries est ce qui pousse de nombreux consommateurs à réclamer contre l'un des principaux fabricants de téléphones mobiles dans le monde, dont les piles supporter 200 à 300 cycles de charge, résultant en une vie moitié non excéder dix-huit mois.
Selon Pedro Gomez, un expert de ces éléments, "piles et d'appareils électroniques ont connu une croissance en spirale en parallèle, chacun poussant l'autre à se développer plus" de sorte que les besoins en énergie des nouveaux appareils électroniques amener la pile toujours insuffisante, malgré les progrès qui ont été dans son domaine.
En Janvier 2011, il y avait très peu de gens qui savaient ce que signifiait l’«obsolescence programmée». Toutefois, le documentaire Pret à jetter a était imposée avec force, et le terme a était saisie dans le dictionnaire commun et tout le monde parler su sujet. "conçu pour ne pas durer ». Alors le débat s'est déplacé vers les réseaux sociaux et devint de nos jours le sujet de tendance mondiale.
Mais à travers ce documentaire non seulement on dégage une stratégie des grandes entreprises délibérément de réduire la durée de vie d'un produit et d'augmenter sa consommation, mais nous avons également appris l'existence des entrepreneurs qui cherchent à lancer de nouvelles entreprises avec de grandes solutions pour faire face à l'obsolescence programmée, cela est un nouveau courant où chaque jour on rencontre de nouveaux individus approuvant cette incitative.
Ignasi Cubina, directeur de la croissance intelligente Eco, un pionnier de consultation mise en œuvre de la philosophie du «Cradle to Cradle» en Espagne, explique ce qui motive son travail: «L'idée n'est pas que la production économique doit diminuer mais ce que nous proposons, c'est de produire d’autrement. "
En quoi consiste de produire d’autrement ? L'idée est simple, c’est de utiliser les matières réutilisables ou qu’elles peuvent se réutiliser d’autrement sans perdre sa qualité.
En Espagne, le start-up des entreprises qui travaillent sous ces initiatives sont chaque fois plus
Importante. L’Hotel Empúrie est le premier hôtel où le spa est construit entièrement de matériaux recyclés. Il utilise l’eau de pluie, des panneaux solaires pour fournir de énergie et sur les toits sont couverts de plantes qui protègent de la chaleur et du froid.
UN EXEMPLE LA BATTERIE:
Dans le monde de l'électronique, la batterie est l'un des meilleurs candidats à se décomposer.
Malgré les avancées technologiques de ces dernières années, les plus grands producteurs sont souvent obligés de rappeler les articles défectueux avec des piles, suite à des plaintes d'organisations de consommateurs, comme FACUA, qui en plus d'une occasion, a appelé à une enquête sur continuer à défaut de piles.
Les experts conviennent que la détérioration d'une batterie doit être progressive. Dans ce sens, le risque Teresa croit "il est évident que l'obsolescence est applicable aux batteries" parce que "c'est très rare" que la nuit fréquemment besoin d'être rechargée.
Cette «mort subite» des batteries est ce qui pousse de nombreux consommateurs à réclamer contre l'un des principaux fabricants de téléphones mobiles dans le monde, dont les piles supporter 200 à 300 cycles de charge, résultant en une vie moitié non excéder dix-huit mois.
Selon Pedro Gomez, un expert de ces éléments, "piles et d'appareils électroniques ont connu une croissance en spirale en parallèle, chacun poussant l'autre à se développer plus" de sorte que les besoins en énergie des nouveaux appareils électroniques amener la pile toujours insuffisante, malgré les progrès qui ont été dans son domaine.
SOLUTIONS DEFINITIVO
Avec la diffusion du documentaire Prêt à jeter : l'obsolescence programmés, des dizaines de milliers de consommateurs vont prendre consience de la réalité que supose l’obsolescence programmée et vont commencer à avoir un sentiment d'indignation et à se demander concrètement : que faire pour se défendre?
Les consommateurs cherchent plusieurs moyens différents pour essayer de combattre cette technique utilisée par les entreprises pour avoir plus de bénéfices. D’une part le premier réflexe quand on se rend compte de que notre lave-linge, cafétière ou écran plasma tombe en panne est d’essayer de le réparer nous-mêmes ou de l’enmener chez le fabriquant pour le faire réparer avant d’en achetter un autre. Le seul problème est que souvent les fabriquants ne proposent pas de réparation mais ils incitent à achetter un nouveau produit pour augmenter ses bénéfices. Une autre solution est d’achetter des objets durables, ceux qui présentent la plus longue garantie. De même les consommateurs devraient éviter les achats superflus des dernières nouveautés qui sont souvent les objets les plus touchés par l’obsolescence programmée.
Serge Latouche, économiste et professeur d’université propose la décroissance comme alternative a la société capitaliste de consommation qui influence et incite l’utilisation de l’obsolescence porgrammée. Cette pensée est un ensemble d’idées soutenues par des mouvements anti-productivistes, anti-consumñeristes et ecologiques qui sont des objecteurs de la croissance. Ils s’opposent aussi aux défenseurs du développement durable. Ces groupes rejettent les objectifs visant à l’augmentation du taux de croissance économique et ils vont jusqu’à demander une réduction contrôlée. Selon eux le taux de production et de consommation ne peut pas être durablement accru ou maintenu. Ceci remet en cause le modèle de production basé sur l’obsolescence pour accroître les bénéfices, donc la croissance économique.
Le problème qui persiste a niveau écologique est celui des déchets des appareils devenus obsolètes. Greenpeace demande à ce que les entreprises assument la responsabilité financière de la gestions de ses déchets, ce coût pourrait s’ajoutter dans le prix d’achat du produit acheté par les consommateurs.
D’autres solutions présentées par cette ONG sont concevoir des appareils éléctroniques sans substances toxiques puis inciter aux gouvernements a créer des lois sur les « e-déchets ». Certains fabricantts ont déjà décidé de prendre en charge la gention de ses déchets comme Sony qui recycle le 53% de ses appareils usagés.
Les consommateurs cherchent plusieurs moyens différents pour essayer de combattre cette technique utilisée par les entreprises pour avoir plus de bénéfices. D’une part le premier réflexe quand on se rend compte de que notre lave-linge, cafétière ou écran plasma tombe en panne est d’essayer de le réparer nous-mêmes ou de l’enmener chez le fabriquant pour le faire réparer avant d’en achetter un autre. Le seul problème est que souvent les fabriquants ne proposent pas de réparation mais ils incitent à achetter un nouveau produit pour augmenter ses bénéfices. Une autre solution est d’achetter des objets durables, ceux qui présentent la plus longue garantie. De même les consommateurs devraient éviter les achats superflus des dernières nouveautés qui sont souvent les objets les plus touchés par l’obsolescence programmée.
Serge Latouche, économiste et professeur d’université propose la décroissance comme alternative a la société capitaliste de consommation qui influence et incite l’utilisation de l’obsolescence porgrammée. Cette pensée est un ensemble d’idées soutenues par des mouvements anti-productivistes, anti-consumñeristes et ecologiques qui sont des objecteurs de la croissance. Ils s’opposent aussi aux défenseurs du développement durable. Ces groupes rejettent les objectifs visant à l’augmentation du taux de croissance économique et ils vont jusqu’à demander une réduction contrôlée. Selon eux le taux de production et de consommation ne peut pas être durablement accru ou maintenu. Ceci remet en cause le modèle de production basé sur l’obsolescence pour accroître les bénéfices, donc la croissance économique.
Le problème qui persiste a niveau écologique est celui des déchets des appareils devenus obsolètes. Greenpeace demande à ce que les entreprises assument la responsabilité financière de la gestions de ses déchets, ce coût pourrait s’ajoutter dans le prix d’achat du produit acheté par les consommateurs.
D’autres solutions présentées par cette ONG sont concevoir des appareils éléctroniques sans substances toxiques puis inciter aux gouvernements a créer des lois sur les « e-déchets ». Certains fabricantts ont déjà décidé de prendre en charge la gention de ses déchets comme Sony qui recycle le 53% de ses appareils usagés.
para claudia
Quelles solutions ?
Dans son rapport « Chemical contamination at e-waste recycling and
disposal sites in Accra and Korforidua », Greenpeace demande à ce que
les entreprises assument la responsabilité financière de la gestion de
leurs appareils devenus obsolètes. Le surcoût pourrait alors être
intégré dans le prix d’achat du produit payé par le consommateur.
Autres pistes envisagées par l’ONG : concevoir des appareils électroniques sans substances toxiques et inciter l’ensemble des pays à adopter une législation très contraignante sur la gestion des « e-déchets ».
Certains fabricants ont déjà décidé de prendre eux-mêmes en charge la gestion des déchets de leur marque, comme le japonais Sony qui récupère et recycle lui-même 53% de ses appareils usagés.
Retrouvez également notre reportage " Ghana : là où finissent nos écrans plats" et participez au débat en répondant à notre question "Contraindre les fabricants à recycler leurs ordinateurs : pour ou contre ?"
jeudi 29 novembre 2012
solutions para claudia
Venons-en maintenant à la question du comment faire pour
sortir de cette impasse et aller vers un modèle plus soutenable
? Au-delà des entreprises et des pouvoirs publics qui ont un rôle
considérable à jouer, chaque citoyen peut y contribuer. Nous vous
proposons quelques pistes, et comptons sur vos contributions pour
enrichir ces propositions.
• Diminuer la perception de bien-être et de satisfaction personnelle que procure l’acquisition d’un nouveau matériel, en privilégiant des valeurs spirituelles plutôt que matérielles. Culture, convivialité, solidarité, … Cela peut sembler désuet ou révolutionnaire, mais tous ceux qui ont essayé n’ont pas fait de retour arrière ! L’idée est de « consommer mieux sans frustration ».
• Privilégier la qualité plutôt que le faible coût, équation gagnante pour l’acheteur comme pour la planète sur le long-terme.
• Passer d’une valeur de possession à une valeur d’usage, principe de base de l’économie de fonctionnalité.
• Prendre conscience de l’impact écologique insoutenable des modes de consommations des pays développés. Et rappeler que si tous les humains vivaient comme un habitant d’Europe de l’Ouest, il faudrait 2,5 planètes pour répondre à la demande, et 5 si l’on souhaite « vivre à l’américaine ».
• Accepter de bon gré une légère diminution des performances. Ce qui revient peut-être à sacrifier quelques minutes dans une journée, mais pour contribuer à un monde meilleur pour nos enfants et petits-enfants.
D’autres suggestions ? Des commentaires ?
Arte
diffusait il y a quelques semaines un remarquable reportage sur
l'obsolescence programmée*.
C'est sur ce documentaire et les questions qu'il soulève que je vous propose de refléchir.
C'est au début de l'ère industrielle (début du XXème siècle) que ce concept d'obsolescence programmée est apparu.
Avec la production à la chaine et la baisse des coûts de production, les prix ont chûté pour le plus grand bonheur des consommateurs. Nous entrions dans la société de consommation, telle que nous la connaissons encore aujourd'hui.
Mais comment s'assurer que les consommateurs continuent à consommer ... une fois tous leurs besoins satisfaits ?
Une 1ère idée consiste à faire en sorte que les appareils soient conçus pour durer un certain temps, mais surtout pas trop longtemps !
Avec la crise de 1929, l'obsolescence programmée aurait même pu être adoptée comme une obligation légale. C'est ce qu'a voulu proposer, sans succès, Bernard London en 1932.
En plus de la durée de vie des appareils, déterminée dès leur sortie d'usine par les fabriquants, une 2ème approche consiste à « créer le besoin ». Grâce au marketing, à la publicité, en améliorant ou changeant le produit et son design régulièrement, il s'agit de séduire le consommateur et susciter son désir insatiable pour qu'il ait toujours envie d'acquérir le dernier modèle. C'est l'approche décrite par Brooks Stevens qui régit plus que jamais notre vie moderne de tous les jours.
Ainsi le consommateur achète souvent et très régulièrement pour remplacer ses appareils courants, que ceux-ci soient usés et cassés (1ère approche) ou obsolètes et dépassés (2ème idée).
La société de consommation fonctionne ainsi, bon gré mal gré, malgré les chahuts provoqués par les crash économiques périodiques, et va de l'avant depuis plus d'un siècle.
L'ennui, c'est que le seul et unique salut qu'a trouvé notre monde, notre société se trouve dans cette croissance économique basée sur le « produire toujours et encore plus ! »
Mais notre monde survivra-t-il à ce modèle ?
Rien n'est moins sur. En effet « celui qui croit qu'une croissance infinie est compatible avec notre planète aux dimensions et ressources finies est un fou ...». Et aujourd'hui, nos impératifs écologiques et environnementaux sont devenus des enjeux vitaux à traiter de manière globale.
Est-il possible, dès lors, d'imaginer une économie viable, sans obsolescence programmée et sans impact sur l'environnement ?
Certains pensent que oui. Et même sans adopter un point de vue radical, comme celui soutenu par Serge Latouche, des solutions ou propositions existent.
Approfondir le sujet :
Dans
le domaine informatique, les matériels se renouvellent très vite.
Les constructeurs commercialisent en effet régulièrement de
nouveaux produits, allant des composants électroniques aux
périphériques d'entrée et de sortie. Ce remplacement régulier
des appareils et des pièces concerne aussi les dispositifs mobiles
comme les smartphones et les tablettes tactiles.
Pistes construisant des solutions :
• Diminuer la perception de bien-être et de satisfaction personnelle que procure l’acquisition d’un nouveau matériel, en privilégiant des valeurs spirituelles plutôt que matérielles. Culture, convivialité, solidarité, … Cela peut sembler désuet ou révolutionnaire, mais tous ceux qui ont essayé n’ont pas fait de retour arrière ! L’idée est de « consommer mieux sans frustration ».
• Privilégier la qualité plutôt que le faible coût, équation gagnante pour l’acheteur comme pour la planète sur le long-terme.
• Passer d’une valeur de possession à une valeur d’usage, principe de base de l’économie de fonctionnalité.
• Prendre conscience de l’impact écologique insoutenable des modes de consommations des pays développés. Et rappeler que si tous les humains vivaient comme un habitant d’Europe de l’Ouest, il faudrait 2,5 planètes pour répondre à la demande, et 5 si l’on souhaite « vivre à l’américaine ».
• Accepter de bon gré une légère diminution des performances. Ce qui revient peut-être à sacrifier quelques minutes dans une journée, mais pour contribuer à un monde meilleur pour nos enfants et petits-enfants.
D’autres suggestions ? Des commentaires ?
Solutions
:
Un produit qui ne s'use pas est une tragédie pour les affaires
» lisait-on dès 1928 dans un magazine économique spécialisé.
Aujourd'hui c'est la base de notre économie et le succès de sa
formidable croissance depuis plus d'un siècle. La croissance économique est devenue ainsi le Saint Graal, le but ultime, la quintessence de notre sacro-sainte société de consommation. Le problème, c'est qu'à l'heure ou notre environnement/planète souffre à grande échelle de nos excès, de nos gaspillages, de nos pollutions ... il devient évident qu'une telle idéologie, basée sur la consommation à outrance, nous conduira inéluctablement dans le mur. |
C'est sur ce documentaire et les questions qu'il soulève que je vous propose de refléchir.
C'est au début de l'ère industrielle (début du XXème siècle) que ce concept d'obsolescence programmée est apparu.
Avec la production à la chaine et la baisse des coûts de production, les prix ont chûté pour le plus grand bonheur des consommateurs. Nous entrions dans la société de consommation, telle que nous la connaissons encore aujourd'hui.
Mais comment s'assurer que les consommateurs continuent à consommer ... une fois tous leurs besoins satisfaits ?
Une 1ère idée consiste à faire en sorte que les appareils soient conçus pour durer un certain temps, mais surtout pas trop longtemps !
Avec la crise de 1929, l'obsolescence programmée aurait même pu être adoptée comme une obligation légale. C'est ce qu'a voulu proposer, sans succès, Bernard London en 1932.
En plus de la durée de vie des appareils, déterminée dès leur sortie d'usine par les fabriquants, une 2ème approche consiste à « créer le besoin ». Grâce au marketing, à la publicité, en améliorant ou changeant le produit et son design régulièrement, il s'agit de séduire le consommateur et susciter son désir insatiable pour qu'il ait toujours envie d'acquérir le dernier modèle. C'est l'approche décrite par Brooks Stevens qui régit plus que jamais notre vie moderne de tous les jours.
Ainsi le consommateur achète souvent et très régulièrement pour remplacer ses appareils courants, que ceux-ci soient usés et cassés (1ère approche) ou obsolètes et dépassés (2ème idée).
La société de consommation fonctionne ainsi, bon gré mal gré, malgré les chahuts provoqués par les crash économiques périodiques, et va de l'avant depuis plus d'un siècle.
L'ennui, c'est que le seul et unique salut qu'a trouvé notre monde, notre société se trouve dans cette croissance économique basée sur le « produire toujours et encore plus ! »
Mais notre monde survivra-t-il à ce modèle ?
Rien n'est moins sur. En effet « celui qui croit qu'une croissance infinie est compatible avec notre planète aux dimensions et ressources finies est un fou ...». Et aujourd'hui, nos impératifs écologiques et environnementaux sont devenus des enjeux vitaux à traiter de manière globale.
Est-il possible, dès lors, d'imaginer une économie viable, sans obsolescence programmée et sans impact sur l'environnement ?
Certains pensent que oui. Et même sans adopter un point de vue radical, comme celui soutenu par Serge Latouche, des solutions ou propositions existent.
- Pourquoi ne pas exiger des fabricants qu'ils se débarrassent eux même de leurs produits en tenant compte de l'environnement ?
- Pourquoi ne pas augmenter de manière importante (X30 ou 40) le prix du transport. Ainsi il deviendrait rentable de produire des objets qui durent plus longtemps (plutôt que de les re-transporter plus souvent). Accessoirement cela peut aussi être considéré comme une piste pour lutter contre la délocalisation de la production dans des pays à main d'oeuvre bon marché.
- Enfin, pour les produits qui ont nécessairement un cycle de
vie court, pourquoi ne pas envisager, dès la conception du produit,
et comme on le trouve naturellement dans la nature, de ne laisser
que des « nutriments » plutôt que des déchets difficiles à
éliminer.
* La vidéo originale :
Malheureusement il est aujourd'hui devenu impossible de retrouver ce reportage sur Arte.tv. Vous pouvez heureusement visualiser l'intégralité de ce documentaire sur Internet.
1ère partie 2ème partie 3ème partie 4ème partie
Malheureusement il est aujourd'hui devenu impossible de retrouver ce reportage sur Arte.tv. Vous pouvez heureusement visualiser l'intégralité de ce documentaire sur Internet.
1ère partie 2ème partie 3ème partie 4ème partie
Approfondir le sujet :
- En finir avec la crise avec l'obsolescence programmée (En) : une proposition écrite pas Bernad London en 1932 et qui suggère de rendre cette obsolescence programmée obligatoire légalement. Une approche trop radicale qui ne sera pas suivie.
- Brooks Stevens (En), le père fondateur qui pose les bases de notre société actuelle : la consommation est stimulée par le design et le marketing. Le but est de séduire le consommateur et susciter le désir insatiable pour le dernier modèle. L'obsolescence programmée n'est pas alors une obligation légale comme pour Bernard London mais vient du consommateur.
- Vance Packard (Fr) écrit « The Waste Makers », une critique de l'obsolescence programmée.
- Serge
Latouche (Fr), un opposant qui milite pour "en finir avec
notre société de croissance".
Benoît Hamon compte lutter contre l'obsolescence programmée dans l'industrie high-tech, qui renouvelle trop rapidement certaines gammes de pièces et de produits. Il compte en particulier consulter le Conseil national de la consommation sur ce sujet. Mais sa marge de manœuvre pour agir est bien mince.

Acquérir
un bien plus récent pour en remplacer un autre devenu obsolète n'a
évidemment pas que des aspects négatifs. En schématisant
grossièrement, les achats d'un nouvel appareil permettent de
financer les activités de l'entreprise, notamment en matière de
recherche et de développement. Ces entrées d'argent participent au
financement de l'innovation, celle-ci se répercutant ensuite sur la
prochaine génération de produit.
Mais
quid lorsque le renouvellement est trop soutenu, au point
d'apparaître anormal ? C'est la critique en filigrane
d'associations écologistes, qui jugent que le processus de
remplacement des produits n'a plus rien de "naturel" dans
certaines entreprises. Celui-ci serait déterminé en amont par
l'entreprise, pour satisfaire un agenda économique précis. Et tant
pis pour la planète ou les finances des clients.
La
critique récente formulée par les Amis
de la Terre à l'encontre de l'iPhone 5 n'est ainsi pas passée
inaperçue. Au même moment, Benoît Hamon était interrogé par le
magazine 60
Millions de consommateurs. Le ministre délégué à l'économie
sociale et solidaire et à la consommation développe alors un
propos résolument hostile à l'obsolescence programmée qui serait
menée par certaines firmes.
"L’obsolescence
des appareils est quasiment pensée au départ par les opérateurs
pour favoriser le renouvellement. Or, acheter un appareil qui est
destiné à être totalement démodé un an plus tard pose d’autant
plus question lorsque le constructeur a lui-même organisé cette
obsolescence. Cela constitue un sujet de travail et de
préoccupation",
explique-t-il.
Que
compte faire le ministre dont l'intitulé du ministère est on ne
peut plus clair ? Pour l'instant, pas grand chose. Benoît Hamon
veut pour l'instant consulter le Conseil
national de la consommation et déterminer les moyens pour
"lutter contre
cette obsolescence programmée dans le domaine du numérique".
Une lutte qui passera par une mise en garde. De qui ? Des
consommateurs ? Des firmes ? Il ne le précise pas.
Reste
à savoir comment Benoît Hamon va pouvoir mettre le holà à la
stratégie commerciale des Apple, Samsung et autres fabricants de
téléphones mobiles. Une chose est sûre, la notion d'obsolescence
programmée est débattue et ne convainc pas tout le monde. Elle ne
recouvre d'ailleurs pas tout à fait les mêmes notions, en témoigne
l'interview du ministre.
Benoît
Hamon parle en effet d'une obsolescence provoquée par l'arrivée
d'un bien plus récent qui ringardise l'ancien et pousse le
consommateur à faire un achat dont il pourrait, a priori, se
passer. La notion généralement admise de ce concept, et abordée
d'ailleurs dans le documentaire très médiatisé d'Arte, Prêt
à jeter, est que l'obsolescence est programmée directement
dans les appareils.
Une
éventualité que rejette l'économiste Alexandre Delaigue, qui
considère que cette notion est un mythe et que le documentaire est
"hilarant de
bêtise" et
"nauséabond de
complotisme".
Dans un long
développement sur son blog, il explique que le seul cas connu
pouvant s'en rapprocher est une imprimante intégrant un système
ralentissant la machine au bout d'un certain nombre d'impressions).
Pour
Alexandre Dalaigue, comme pour
d'autres d'ailleurs, l'obsolescence programmée est
techniquement impossible à mettre en place, notamment parce que les
usages des produits varient selon les individus. Une machine à
laver peut être utilisée une fois par semaine comme tous les
jours. L'usure des pièces n'est alors pas la même et la vitesse de
dégradation du matériel varie alors.
Ensuite
parce que les industriels doivent trouver le juste milieu entre la
longévité d'un produit et son coût de fabrication. Coût qui se
répercutera ensuite sur le prix de vente final. Or, si rallonger la
longévité d'un produit est possible, cela se fait au détriment
d'autres qualités qui sont tout autant réclamées par les
consommateurs : esthétisme, coût, poids, taille...
Pistes construisant des solutions :
Comment
faire pour sortir de cette impasse et aller vers un modèle
soutenable ? Au-delà des entreprises et des pouvoirs publics qui ont
un rôle considérable à jouer, chaque individu peut y contribuer.
Nous vous proposons quelques pistes, et comptons sur vos
contributions pour enrichir ces propositions.
questions
SEXE: ÂGE:
O ) Lors d’un achat d’un produit :
( ) Tu te guide par l’opinion des gens de ton entourage
( ) Tu te guide par la publicité faite pour le
( ) Tu te guide par tes goûts.
I) As-tu regretté le fait d’avoir acheté un produit?
Non.
Oui (pourquoi)......................................................................
II) Lorsque ton produit commence a ne pas fonctionner.
( ) Tu essaye de trouver la cause
( ) Tu te presente devant les chef du produit.
( ) Laisser passer.
-Si dans la question si dessus vous avez coché la première ou la deuxième réponse, expliquer ce que vous avez fait.
.................................................................................................
.................................................................................................
.................................................................................................
.................................................................................................
.................................................................................................
III) Combien de fois es- tu allé reclamer à une entreprise les defaux d’un produit.
( ) Aucun
( ) Entre 1-5
( ) Entre 5-10
( ) Plus
IV) Sais-tu qu’est ce que l’obsolescence programmée?
( ) Non
( ) Oui, qu’est ce que sais?.......................................................................................................
V) Pense tu que tous les produits de grandes marques son qualifiés?
Non, pourquoi?
Oui, pourquoi?
video campaña obsoles.progr
video sobre la campaña sobre la obsolescencia programada
http://noestaobsoleto.wordpress.com/2010/09/14/campana-sobre-la-obsolescencia-programada-y-percibida/
http://noestaobsoleto.wordpress.com/2010/09/14/campana-sobre-la-obsolescencia-programada-y-percibida/
source marketing
https://sites.google.com/site/applemarqueduxxiemesiecle/i-les-strategies-d-apple/a-la-creation-de-besoin-chez-le-consommateur
jeudi 22 novembre 2012
conséquence para mi
http://www.greenit.fr/article/bonnes-pratiques/de-l-obsolescence-programmee-a-l-obsolescence-percue-comment-peut-on-lutter
majeurs à l’environnement et aux hommes ?
Au préalable, dressons un état des lieux de la situation.
Les matériels électroniques consomment de très grandes quantités de matières premières non renouvelables comme les métaux, mais aussi beaucoup de pétrole. L’épuisement des ressources naturelles est aujourd’hui un sujet très préoccupant. L’OCDE a estimé que les réserves de cuivre, plomb, nickel, argent, étain et zinc ne dépasseraient pas 30 années, l’aluminium et le fer se situant entre 60 et 80 ans. Outre les impacts directs sur la biodiversité, cette surconsommation de matières premières a des conséquences humaines et sanitaires désastreuses sur les populations locales. Elle contribue aussi largement au réchauffement climatique. Et il n’est pas exclu qu’elle devienne à l’avenir le lit de tensions géopolitiques, comme c’est déjà le cas au Congo avec le coltan.
La question des DEEE reste une préoccupation majeure tant du point social qu’environnemental. Des millions de tonnes de déchets toxiques finissent leur vie accumulés dans des décharges sauvages des pays du Sud. Au préalable, ils ont été démantelés de façon rudimentaire, souvent par des enfants, pour y récupérer les métaux précieux. Le dernier billet de GreenIT.fr sur ce sujet relate qu’en 2008, seulement 30% des DEEE avaient été traités via une filière adaptée. A peine croyable. Sans compter que les filières de recyclage des DEEE doivent gagner en efficacité : à la fois pour optimiser le taux de réemploi et de recyclage des composants (comme les plastiques), mais aussi pour améliorer le traitement des pollutions induites par ces opérations.
Une question basique se pose alors : pourquoi consommons-nous autant de matériels électroniques ?
La consommation de masse d’appareils électriques et électroniques a commencé au début des trente glorieuses, où elle a été encouragée à grands renforts de publicité pour doper l’économie au sortir de la guerre. A l’époque, l’idée paraissait judicieuse car personne n’avait en tête la finitude de notre planète. Puis dans les années 1990 est apparu le boom des TIC avec internet et la téléphonie mobile. On ne se souciait toujours pas de la limite des ressources, pas plus que de l’augmentation des déchets. Mais aujourd’hui, alors que les dégâts causés par l’explosion de cette consommation sont connus, on continue à renouveler toujours autant nos matériels.
Si, au final, les habitudes persistent, tel le « business as usual », c’est parce que les causes de cette obsolescence programmée sont nombreuses et difficiles à traiter :
• La recherche continue de baisse des coûts entraîne une baisse de qualité et donc une plus grande fragilité des matériels
• La difficulté à faire réparer : la complexité croissante des matériels et le manque de pièces détachées rendent les réparations de plus en plus difficiles
• La rentabilité économique de la réparation est souvent questionnable, au vu des faibles coûts d’achat du matériel neuf
• Le cercle vicieux de la course à la puissance : entre l’augmentation régulière de la puissance des ordinateurs (« acquittée » par la célèbre loi de Moore) et la course à la puissance des logiciels, c’est l’histoire de la poule et de l’œuf … A titre d’exemple, Windows 7 + Office 2010 Pro nécessitent 15 fois plus de puissance processeur, 71 fois plus de mémoire vive et 47 fois plus d’espace disque que le couple Windows 97 + Office 97
• Les fabricants et les distributeurs s’en portent bien, et cela fait beaucoup d’heureux dans une économie où le seul indicateur de croissance reste le PIB
• Plus récemment, on voit apparaître l’argument écologique de produits moins énergivores ; si cela est tout à fait vrai, il faut toutefois rappeler que l’énergie grise d’un matériel électronique est à l’origine de la majeure partie des émissions de CO2 sur l’ensemble du cycle de vie
• Aucun matériel n’affiche sa durée de vie théorique, laissant ainsi planer le doute sur un sujet quasi-tabou chez les fabricants ; seule une réglementation telle que l’affichage environnemental pourrait imposer cet affichage
• Enfin, l’attrait pour la nouveauté, alimenté par l’innovation, conduit très souvent à remplacer un matériel en parfait état de marche. On est là dans la perception d’obsolescence. Le cas est flagrant pour les téléphones mobiles qui sont remplacés en moyenne au bout de 20 mois, et au bout de 10 mois seulement chez les 12-17 ans.
Si vous ne connaissez pas encore la vidéo « The Story of Stuff », apparue sur internet fin 2007, et qui a fait le tour de la planète, c’est le moment de la découvrir. L’auteure, Annie Leonard, y dénonce le « Designed for the Dump » (conçu pour la poubelle) des objets de grande consommation. Elle décortique avec une précision horlogère et beaucoup d’humour les aberrations qui se produisent tout au long du cycle de vie de nos objets du quotidien. Elle constate aussi que les prix très bas ne reflètent pas la réalité car les coûts sont externalisés. Cette vidéo a depuis été déclinée en plusieurs versions thématiques, comme la bouteille d’eau en plastique ou les matériels électroniques. Et c’est toujours aussi drôle.
Venons-en maintenant à la question du comment faire pour sortir de cette impasse et aller vers un modèle plus soutenable ? Au-delà des entreprises et des pouvoirs publics qui ont un rôle considérable à jouer, chaque citoyen peut y contribuer. Nous vous proposons quelques pistes, et comptons sur vos contributions pour enrichir ces propositions.
• Diminuer la perception de bien-être et de satisfaction personnelle que procure l’acquisition d’un nouveau matériel, en privilégiant des valeurs spirituelles plutôt que matérielles. Culture, convivialité, solidarité, … Cela peut sembler désuet ou révolutionnaire, mais tous ceux qui ont essayé n’ont pas fait de retour arrière ! L’idée est de « consommer mieux sans frustration ».
• Privilégier la qualité plutôt que le faible coût, équation gagnante pour l’acheteur comme pour la planète sur le long-terme.
• Passer d’une valeur de possession à une valeur d’usage, principe de base de l’économie de fonctionnalité.
• Prendre conscience de l’impact écologique insoutenable des modes de consommations des pays développés. Et rappeler que si tous les humains vivaient comme un habitant d’Europe de l’Ouest, il faudrait 2,5 planètes pour répondre à la demande, et 5 si l’on souhaite « vivre à l’américaine ».
• Accepter de bon gré une légère diminution des performances. Ce qui revient peut-être à sacrifier quelques minutes dans une journée, mais pour contribuer à un monde meilleur pour nos enfants et petits-enfants.
D’autres suggestions ? Des commentaires ?
Sources :
• « L’obsolescence programmée, symbole de la société du gaspillage » rapport rédigé par Les Amis de la Terre et le CNIID (Centre National d’Information Indépendante sur les Déchets) : http://www.cniid.org/espace_telechargement/actualite/201009_rapport_OP_A…
• http://storyofstuff.org/
para clau : les solutions
Solutions
:
Un produit qui ne s'use pas est une tragédie pour les affaires
» lisait-on dès 1928 dans un magazine économique spécialisé.
Aujourd'hui c'est la base de notre économie et le succès de sa
formidable croissance depuis plus d'un siècle. La croissance économique est devenue ainsi le Saint Graal, le but ultime, la quintessence de notre sacro-sainte société de consommation. Le problème, c'est qu'à l'heure ou notre environnement/planète souffre à grande échelle de nos excès, de nos gaspillages, de nos pollutions ... il devient évident qu'une telle idéologie, basée sur la consommation à outrance, nous conduira inéluctablement dans le mur. |
C'est sur ce documentaire et les questions qu'il soulève que je vous propose de refléchir.
C'est au début de l'ère industrielle (début du XXème siècle) que ce concept d'obsolescence programmée est apparu.
Avec la production à la chaine et la baisse des coûts de production, les prix ont chûté pour le plus grand bonheur des consommateurs. Nous entrions dans la société de consommation, telle que nous la connaissons encore aujourd'hui.
Mais comment s'assurer que les consommateurs continuent à consommer ... une fois tous leurs besoins satisfaits ?
Une 1ère idée consiste à faire en sorte que les appareils soient conçus pour durer un certain temps, mais surtout pas trop longtemps !
Avec la crise de 1929, l'obsolescence programmée aurait même pu être adoptée comme une obligation légale. C'est ce qu'a voulu proposer, sans succès, Bernard London en 1932.
En plus de la durée de vie des appareils, déterminée dès leur sortie d'usine par les fabriquants, une 2ème approche consiste à « créer le besoin ». Grâce au marketing, à la publicité, en améliorant ou changeant le produit et son design régulièrement, il s'agit de séduire le consommateur et susciter son désir insatiable pour qu'il ait toujours envie d'acquérir le dernier modèle. C'est l'approche décrite par Brooks Stevens qui régit plus que jamais notre vie moderne de tous les jours.
Ainsi le consommateur achète souvent et très régulièrement pour remplacer ses appareils courants, que ceux-ci soient usés et cassés (1ère approche) ou obsolètes et dépassés (2ème idée).
La société de consommation fonctionne ainsi, bon gré mal gré, malgré les chahuts provoqués par les crash économiques périodiques, et va de l'avant depuis plus d'un siècle.
L'ennui, c'est que le seul et unique salut qu'a trouvé notre monde, notre société se trouve dans cette croissance économique basée sur le « produire toujours et encore plus ! »
Mais notre monde survivra-t-il à ce modèle ?
Rien n'est moins sur. En effet « celui qui croit qu'une croissance infinie est compatible avec notre planète aux dimensions et ressources finies est un fou ...». Et aujourd'hui, nos impératifs écologiques et environnementaux sont devenus des enjeux vitaux à traiter de manière globale.
Est-il possible, dès lors, d'imaginer une économie viable, sans obsolescence programmée et sans impact sur l'environnement ?
Certains pensent que oui. Et même sans adopter un point de vue radical, comme celui soutenu par Serge Latouche, des solutions ou propositions existent.
- Pourquoi ne pas exiger des fabricants qu'ils se débarrassent eux même de leurs produits en tenant compte de l'environnement ?
- Pourquoi ne pas augmenter de manière importante (X30 ou 40) le prix du transport. Ainsi il deviendrait rentable de produire des objets qui durent plus longtemps (plutôt que de les re-transporter plus souvent). Accessoirement cela peut aussi être considéré comme une piste pour lutter contre la délocalisation de la production dans des pays à main d'oeuvre bon marché.
- Enfin, pour les produits qui ont nécessairement un cycle de
vie court, pourquoi ne pas envisager, dès la conception du produit,
et comme on le trouve naturellement dans la nature, de ne laisser
que des « nutriments » plutôt que des déchets difficiles à
éliminer.
* La vidéo originale :
Malheureusement il est aujourd'hui devenu impossible de retrouver ce reportage sur Arte.tv. Vous pouvez heureusement visualiser l'intégralité de ce documentaire sur Internet.
1ère partie 2ème partie 3ème partie 4ème partie
Malheureusement il est aujourd'hui devenu impossible de retrouver ce reportage sur Arte.tv. Vous pouvez heureusement visualiser l'intégralité de ce documentaire sur Internet.
1ère partie 2ème partie 3ème partie 4ème partie
Approfondir le sujet :
- En finir avec la crise avec l'obsolescence programmée (En) : une proposition écrite pas Bernad London en 1932 et qui suggère de rendre cette obsolescence programmée obligatoire légalement. Une approche trop radicale qui ne sera pas suivie.
- Brooks Stevens (En), le père fondateur qui pose les bases de notre société actuelle : la consommation est stimulée par le design et le marketing. Le but est de séduire le consommateur et susciter le désir insatiable pour le dernier modèle. L'obsolescence programmée n'est pas alors une obligation légale comme pour Bernard London mais vient du consommateur.
- Vance Packard (Fr) écrit « The Waste Makers », une critique de l'obsolescence programmée.
- Serge
Latouche (Fr), un opposant qui milite pour "en finir avec
notre société de croissance".
Benoît Hamon compte lutter contre l'obsolescence programmée dans l'industrie high-tech, qui renouvelle trop rapidement certaines gammes de pièces et de produits. Il compte en particulier consulter le Conseil national de la consommation sur ce sujet. Mais sa marge de manœuvre pour agir est bien mince.

Acquérir
un bien plus récent pour en remplacer un autre devenu obsolète n'a
évidemment pas que des aspects négatifs. En schématisant
grossièrement, les achats d'un nouvel appareil permettent de
financer les activités de l'entreprise, notamment en matière de
recherche et de développement. Ces entrées d'argent participent au
financement de l'innovation, celle-ci se répercutant ensuite sur la
prochaine génération de produit.
Mais
quid lorsque le renouvellement est trop soutenu, au point
d'apparaître anormal ? C'est la critique en filigrane
d'associations écologistes, qui jugent que le processus de
remplacement des produits n'a plus rien de "naturel" dans
certaines entreprises. Celui-ci serait déterminé en amont par
l'entreprise, pour satisfaire un agenda économique précis. Et tant
pis pour la planète ou les finances des clients.
La
critique récente formulée par les Amis
de la Terre à l'encontre de l'iPhone 5 n'est ainsi pas passée
inaperçue. Au même moment, Benoît Hamon était interrogé par le
magazine 60
Millions de consommateurs. Le ministre délégué à l'économie
sociale et solidaire et à la consommation développe alors un
propos résolument hostile à l'obsolescence programmée qui serait
menée par certaines firmes.
"L’obsolescence
des appareils est quasiment pensée au départ par les opérateurs
pour favoriser le renouvellement. Or, acheter un appareil qui est
destiné à être totalement démodé un an plus tard pose d’autant
plus question lorsque le constructeur a lui-même organisé cette
obsolescence. Cela constitue un sujet de travail et de
préoccupation",
explique-t-il.
Que
compte faire le ministre dont l'intitulé du ministère est on ne
peut plus clair ? Pour l'instant, pas grand chose. Benoît Hamon
veut pour l'instant consulter le Conseil
national de la consommation et déterminer les moyens pour
"lutter contre
cette obsolescence programmée dans le domaine du numérique".
Une lutte qui passera par une mise en garde. De qui ? Des
consommateurs ? Des firmes ? Il ne le précise pas.
Reste
à savoir comment Benoît Hamon va pouvoir mettre le holà à la
stratégie commerciale des Apple, Samsung et autres fabricants de
téléphones mobiles. Une chose est sûre, la notion d'obsolescence
programmée est débattue et ne convainc pas tout le monde. Elle ne
recouvre d'ailleurs pas tout à fait les mêmes notions, en témoigne
l'interview du ministre.
Benoît
Hamon parle en effet d'une obsolescence provoquée par l'arrivée
d'un bien plus récent qui ringardise l'ancien et pousse le
consommateur à faire un achat dont il pourrait, a priori, se
passer. La notion généralement admise de ce concept, et abordée
d'ailleurs dans le documentaire très médiatisé d'Arte, Prêt
à jeter, est que l'obsolescence est programmée directement
dans les appareils.
Une
éventualité que rejette l'économiste Alexandre Delaigue, qui
considère que cette notion est un mythe et que le documentaire est
"hilarant de
bêtise" et
"nauséabond de
complotisme".
Dans un long
développement sur son blog, il explique que le seul cas connu
pouvant s'en rapprocher est une imprimante intégrant un système
ralentissant la machine au bout d'un certain nombre d'impressions).
Pour
Alexandre Dalaigue, comme pour
d'autres d'ailleurs, l'obsolescence programmée est
techniquement impossible à mettre en place, notamment parce que les
usages des produits varient selon les individus. Une machine à
laver peut être utilisée une fois par semaine comme tous les
jours. L'usure des pièces n'est alors pas la même et la vitesse de
dégradation du matériel varie alors.
Ensuite
parce que les industriels doivent trouver le juste milieu entre la
longévité d'un produit et son coût de fabrication. Coût qui se
répercutera ensuite sur le prix de vente final. Or, si rallonger la
longévité d'un produit est possible, cela se fait au détriment
d'autres qualités qui sont tout autant réclamées par les
consommateurs : esthétisme, coût, poids, taille...
Pistes construisant des solutions :
Comment
faire pour sortir de cette impasse et aller vers un modèle
soutenable ? Au-delà des entreprises et des pouvoirs publics qui ont
un rôle considérable à jouer, chaque individu peut y contribuer.
Nous vous proposons quelques pistes, et comptons sur vos
contributions pour enrichir ces propositions.
Comment s’opposer ?
Le consommateur-citoyen peut se sentir démuni face à ces pratiques, surtout lorsque tous les producteurs d’un même secteur les utilisent, rendant impossible le choix d’un produit plus durable que les autres.A l’échelle individuelle, on peut cependant agir en cherchant systématiquement des solutions de réparation avant d’envisager le remplacement d’un objet. Cette démarche s’apparente parfois à un parcours du combattant, mais elle permet de soutenir une profession – celle de l’artisan- réparateur – directement touchée par la mise en place à grande échelle de l’obsolescence programmée. Le recensement des structures ou artisans proposant de la réparation ou de l’achat d’occasion peut d’ailleurs constituer une action intéressante à proposer au niveau de la commune ou de la communauté de communes, dans le cadre des programmes locaux de prévention des déchets.
A un niveau plus global, le Cniid porte plusieurs demandes visant à faire cesser ces pratiques et à mettre la logique économique en cohérence avec la réalité environnementale : affichage de la durée de vie des produits, extension de la garantie légale, obligation de rendre disponibles les pièces détachées à un coût raisonnable. Le comité de la prévention du ministère du Développement durable a annoncé récemment le lancement d’une réflexion sur la durée de vie des produits. Nul doute que les industriels affûtent déjà leurs armes...
jeudi 15 novembre 2012
les consommateurs
Les consommateurs:
Cette pratique ne se limite pas aux produits consommables et aux pièces dérivées. Le même mécanisme d'obsolescence indirecte est possible également pour l'industrie des services et des logiciels. Par exemple, en juillet 2006, Microsoft abandonne le service d'après-vente et de maintenance corrective pour les logiciels Windows 98 et Millenium14. Cette décision implique que, depuis cette date, les bogues et les failles de sécurité ne sont plus corrigés par Microsoft15. Effet secondaire : les consommateurs vont se débarrasser du vieux matériel incapable de faire tourner les versions récentes de Windows (quantité de mémoire vive insuffisante, etc.).
http://fr.wikipedia.org/wiki/Obsolescence_programm%C3%A9e
--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
La Commission Européenne est en charge du sujet mais les différents lobbys seront certainement très efficaces pour faire capoter toute décision d’importance et l’arrêt stricte de cette pratique mortifère pour l’humanité. Il existe un groupe Facebook pour soutenir les consommateurs contre l’infamie que représente l’obsolescence programmée.
http://blogs.mediapart.fr/blog/stephanie-marthely-allard/090912/lobsolescence-programmee-contre-lhumanite
Les associations de consommateurs qui réclament une meilleure information sur la qualité et la longévité des produits, enfin les entreprises européennes qui trouvent là un moyen de récupérer une partie de la confiance perdue et surtout un élément pour prendre l’avantage sur les produits émanant d’entreprises majoritairement américaines ou asiatiques.
http://www.liberation.fr/economie/2012/10/28/l-obsolescence-programmee-un-gachis-organise_856569
---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
una chica de facebook respondiendo a este articulo.
Laura Can:
Très bon article de Libération sur le sujet, peut vous aider pour diffuser l'info. Par ailleurs, moi même travaillant au Cniid, notamment sur ce sujet là, je peux vous confirmer qu'il y a déjà un projet de loi (B Hamon) + une proposition de loi (JV Placé, EELV) qui sortiront en 2013. L'un des axes les plus importants est l'allongement de la durée de garantie de 2 à 10 ans. Quand ces lois seront au Parlement c'est vraiment là qu'il faudra interpeller nos députés et sénateurs pour qu'ils les soutiennent. Tenez vous prêts !
http://www.facebook.com/groups/115666728571951/
---------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Benoît Hamon compte lutter contre l'obsolescence programmée dans l'industrie high-tech, qui renouvelle trop rapidement certaines gammes de pièces et de produits. Il compte en particulier consulter le Conseil national de la consommation sur ce sujet. Mais sa marge de manœuvre pour agir est bien mince.
http://www.numerama.com/magazine/23723-benoit-hamon-veut-lutter-contre-l-obsolescence-programmee-dans-le-numerique.html
--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
esto es lo de cons.
C'est l'attitude des consommateurs qui est responsable de ce système, à savoir qu'ils aiment changer
régulièrement de biens et de services, souvent dans l'espoir d'améliorer leurs conditions de vie.
Ce phénomène se rapproche de celui de la mode . C'est elle qui dicte à bon nombre de gens ce qu'ils doivent acheter et surtout quand. Dans un système où les biens seraient durables, on les utiliserait jusqu'à ce qu'ils soient usés ou cassés. La tendance actuelle vestimentaire serait alors peut-être celle des années 90 avec tout ce que cela implique pour les entreprises productrices.
Ce sont donc elles qui créent la mode, qui pensent aux nouveautés et qui provoquent le besoin irrépressible chez le consommateur de s'approprier la dernière innovation. Ce fut notamment le cas avec la première tablette tactile plébiscité. Aucun besoin n'avait alors été détecté quant à l'utilité d'un tel appareil. La campagne publicitaire a donc su insuer cette nouvelle mode qui a conquis bon nombre d'adeptes.
RESUMEN BREVE DEL VIDEO
Il existe peu d'exemples avérés de ces «sabotages» organisés. Le documentaire Prêt à jeter (1) en cite quelques-uns. Il y a l'histoire, en 1924, du «cartel Phoebus» : alors que les ampoules électriques tiennent en moyenne 2 500 heures, les fabricants limitent leur existence à 1 000 heures. Dans les années 40, le bas nylon subit le même sort. La fibre miracle de Du Pont de Nemours s'avère trop solide pour la santé des affaires. Quelques manipulations chimiques plus tard, les bas filent à nouveau. Plus récemment, une puce bloquait les imprimantes Epson après 18 000 copies…
Cette pratique ne se limite pas aux produits consommables et aux pièces dérivées. Le même mécanisme d'obsolescence indirecte est possible également pour l'industrie des services et des logiciels. Par exemple, en juillet 2006, Microsoft abandonne le service d'après-vente et de maintenance corrective pour les logiciels Windows 98 et Millenium14. Cette décision implique que, depuis cette date, les bogues et les failles de sécurité ne sont plus corrigés par Microsoft15. Effet secondaire : les consommateurs vont se débarrasser du vieux matériel incapable de faire tourner les versions récentes de Windows (quantité de mémoire vive insuffisante, etc.).
http://fr.wikipedia.org/wiki/Obsolescence_programm%C3%A9e
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La Commission Européenne est en charge du sujet mais les différents lobbys seront certainement très efficaces pour faire capoter toute décision d’importance et l’arrêt stricte de cette pratique mortifère pour l’humanité. Il existe un groupe Facebook pour soutenir les consommateurs contre l’infamie que représente l’obsolescence programmée.
http://blogs.mediapart.fr/blog/stephanie-marthely-allard/090912/lobsolescence-programmee-contre-lhumanite
Les associations de consommateurs qui réclament une meilleure information sur la qualité et la longévité des produits, enfin les entreprises européennes qui trouvent là un moyen de récupérer une partie de la confiance perdue et surtout un élément pour prendre l’avantage sur les produits émanant d’entreprises majoritairement américaines ou asiatiques.
http://www.liberation.fr/economie/2012/10/28/l-obsolescence-programmee-un-gachis-organise_856569
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una chica de facebook respondiendo a este articulo.
Laura Can:
Très bon article de Libération sur le sujet, peut vous aider pour diffuser l'info. Par ailleurs, moi même travaillant au Cniid, notamment sur ce sujet là, je peux vous confirmer qu'il y a déjà un projet de loi (B Hamon) + une proposition de loi (JV Placé, EELV) qui sortiront en 2013. L'un des axes les plus importants est l'allongement de la durée de garantie de 2 à 10 ans. Quand ces lois seront au Parlement c'est vraiment là qu'il faudra interpeller nos députés et sénateurs pour qu'ils les soutiennent. Tenez vous prêts !
http://www.facebook.com/groups/115666728571951/
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Benoît Hamon compte lutter contre l'obsolescence programmée dans l'industrie high-tech, qui renouvelle trop rapidement certaines gammes de pièces et de produits. Il compte en particulier consulter le Conseil national de la consommation sur ce sujet. Mais sa marge de manœuvre pour agir est bien mince.
http://www.numerama.com/magazine/23723-benoit-hamon-veut-lutter-contre-l-obsolescence-programmee-dans-le-numerique.html
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esto es lo de cons.
C'est l'attitude des consommateurs qui est responsable de ce système, à savoir qu'ils aiment changer
régulièrement de biens et de services, souvent dans l'espoir d'améliorer leurs conditions de vie.
Ce phénomène se rapproche de celui de la mode . C'est elle qui dicte à bon nombre de gens ce qu'ils doivent acheter et surtout quand. Dans un système où les biens seraient durables, on les utiliserait jusqu'à ce qu'ils soient usés ou cassés. La tendance actuelle vestimentaire serait alors peut-être celle des années 90 avec tout ce que cela implique pour les entreprises productrices.
Ce sont donc elles qui créent la mode, qui pensent aux nouveautés et qui provoquent le besoin irrépressible chez le consommateur de s'approprier la dernière innovation. Ce fut notamment le cas avec la première tablette tactile plébiscité. Aucun besoin n'avait alors été détecté quant à l'utilité d'un tel appareil. La campagne publicitaire a donc su insuer cette nouvelle mode qui a conquis bon nombre d'adeptes.
RESUMEN BREVE DEL VIDEO
Il existe peu d'exemples avérés de ces «sabotages» organisés. Le documentaire Prêt à jeter (1) en cite quelques-uns. Il y a l'histoire, en 1924, du «cartel Phoebus» : alors que les ampoules électriques tiennent en moyenne 2 500 heures, les fabricants limitent leur existence à 1 000 heures. Dans les années 40, le bas nylon subit le même sort. La fibre miracle de Du Pont de Nemours s'avère trop solide pour la santé des affaires. Quelques manipulations chimiques plus tard, les bas filent à nouveau. Plus récemment, une puce bloquait les imprimantes Epson après 18 000 copies…
HISTORIQUE DEFINITIVO
OBSOLESCENCE PROGRAMMÉE HISTOIRE:
“Un produit qui ne s'use pas est une tragédie pour les affaires” lisait-on dès 1928 dans un magazine économique spécialisé. C'est au début de l'ère industrielle (début du XXème siècle) que ce concept d'obsolescence programmée est apparu.
L’ampoule électrique, a été le premier object touché par l’obsolescence programmée. Á la fin 1924 à Gèneve les principaux producteurs d’ampules des pays industrialisés comme Philips, General Electric et Osram ont fondé le cartel Pheobus SA qui cherchait a limiter la durée de vie des ampoules à 1.000 heures. Il rassemblait les statistiques sur la durée de vie moyenne et imposait des amendes aux fabricants qui dépassaient les 1.500 heures d’utilisation pour ses ampoules. Ce cartel est devenu assez efficace. Alors que la durée de vie moyenne des ampoules atteignait 2.500 heures en 1924, en deux ans la durée ne surpassait plus 1.500 heures et quelques années plus tard elle ne s’élevait pas plus des 1.000 heures. En 1942 le cartel est découvert, et le Gouvernement américain porte plainte contre General Electric et d’autres fabricants pour entente sur les prix, concurrence déloyale et limitation de la durée des ampoules. En 1953, les producteurs sont condamnés à lever ces restrictions, mais en réalité rien n’a changé. Les producteurs s’engagent a fabriquer une ampoule qui aurait une durée de vie de 100 000 heures, mais le filament longue durée prévu pour durer 100.000 heures n’a jamais été commercialisé.
Lors de la Grande Dépression aux Etats-Unis, un homme d’affaires, Bernard London, a proposé de limiter la durée de vie légale des biens de consommation pour faire impulser l’industrie dans un ouvrage intitulé “La Nouvelle prospérité”. C’est la première fois qu’est apparue la notion “d’obsolescence programmée”. Elle remonte à un chapitre publié sous le titre “Ending the Depression Through Planned Obsolescence” (“Mettre fin à la grande crise au moyen de l'obsolescence programmée”) Il y constate que, sous l'effet de la crise économique, les Américains avaient laissé de côté leur habitude de se débarrasser de leurs biens avant qu'ils ne veillissent et qu'ils s'étaient mis à conserver biens plus longtemps que ne prévu par les statisticiens. C’est pour cela que Bernard London veut mettre en place la “Loi d’obsolescence”. Les gens pourraient renvoyer leurs appareils à un organisme national pour qu'ils soient recyclés, cependant les personnes qui garderait un objet plus longtemps qu'il était autorisé devraient payer une amende. Il pense que c'est la solution pour résoudre la crise de l'Amérique après 1929, elle permet le plein emploi et stimulerait la croissance. Finalement l'obsolescence programmée ne fut jamais imposée par une loi mais le concept fut repris en 1950 et cette fois il séduirait les consommateurs avec Brook Stevens.
En 1950 l’obsolescence programmée fait l'objet de débats dans les colonnes de la revue Industrial Design et sera popularisée par le designer industriel Brooks Stevens. Comme ses prédécesseurs, il souhaite de renouveler les objets tous les ans à travers la mode. Il produit de nombreux objets (voitures, motos, tondeuses, aspirateurs et autres articles ménagers) dont les modèles sont sans cesse renouvelés. Selon Stevens, il faut “inculquer à l'acheteur le désir de posséder quelque chose d'un peu plus récent, un peu meilleur et un peu plus tôt que ce qui est nécessaire”. Il crée la société Brooks Stevens Design qui a été très importante pour l’économie des années 50.
Dans les années 1960, l'obsolescence devient courante. Le constructeur automobile Volkswagen lance même une campagne de publicité sur ce thème. Actuellement l’obsolescence est la base de la croissance économique et de la production industrielle, mais les consommateurs commencent a se rendre compte de cette stratégie et surtout commencent a réagir face à elle.
“Un produit qui ne s'use pas est une tragédie pour les affaires” lisait-on dès 1928 dans un magazine économique spécialisé. C'est au début de l'ère industrielle (début du XXème siècle) que ce concept d'obsolescence programmée est apparu.
L’ampoule électrique, a été le premier object touché par l’obsolescence programmée. Á la fin 1924 à Gèneve les principaux producteurs d’ampules des pays industrialisés comme Philips, General Electric et Osram ont fondé le cartel Pheobus SA qui cherchait a limiter la durée de vie des ampoules à 1.000 heures. Il rassemblait les statistiques sur la durée de vie moyenne et imposait des amendes aux fabricants qui dépassaient les 1.500 heures d’utilisation pour ses ampoules. Ce cartel est devenu assez efficace. Alors que la durée de vie moyenne des ampoules atteignait 2.500 heures en 1924, en deux ans la durée ne surpassait plus 1.500 heures et quelques années plus tard elle ne s’élevait pas plus des 1.000 heures. En 1942 le cartel est découvert, et le Gouvernement américain porte plainte contre General Electric et d’autres fabricants pour entente sur les prix, concurrence déloyale et limitation de la durée des ampoules. En 1953, les producteurs sont condamnés à lever ces restrictions, mais en réalité rien n’a changé. Les producteurs s’engagent a fabriquer une ampoule qui aurait une durée de vie de 100 000 heures, mais le filament longue durée prévu pour durer 100.000 heures n’a jamais été commercialisé.
Lors de la Grande Dépression aux Etats-Unis, un homme d’affaires, Bernard London, a proposé de limiter la durée de vie légale des biens de consommation pour faire impulser l’industrie dans un ouvrage intitulé “La Nouvelle prospérité”. C’est la première fois qu’est apparue la notion “d’obsolescence programmée”. Elle remonte à un chapitre publié sous le titre “Ending the Depression Through Planned Obsolescence” (“Mettre fin à la grande crise au moyen de l'obsolescence programmée”) Il y constate que, sous l'effet de la crise économique, les Américains avaient laissé de côté leur habitude de se débarrasser de leurs biens avant qu'ils ne veillissent et qu'ils s'étaient mis à conserver biens plus longtemps que ne prévu par les statisticiens. C’est pour cela que Bernard London veut mettre en place la “Loi d’obsolescence”. Les gens pourraient renvoyer leurs appareils à un organisme national pour qu'ils soient recyclés, cependant les personnes qui garderait un objet plus longtemps qu'il était autorisé devraient payer une amende. Il pense que c'est la solution pour résoudre la crise de l'Amérique après 1929, elle permet le plein emploi et stimulerait la croissance. Finalement l'obsolescence programmée ne fut jamais imposée par une loi mais le concept fut repris en 1950 et cette fois il séduirait les consommateurs avec Brook Stevens.
En 1950 l’obsolescence programmée fait l'objet de débats dans les colonnes de la revue Industrial Design et sera popularisée par le designer industriel Brooks Stevens. Comme ses prédécesseurs, il souhaite de renouveler les objets tous les ans à travers la mode. Il produit de nombreux objets (voitures, motos, tondeuses, aspirateurs et autres articles ménagers) dont les modèles sont sans cesse renouvelés. Selon Stevens, il faut “inculquer à l'acheteur le désir de posséder quelque chose d'un peu plus récent, un peu meilleur et un peu plus tôt que ce qui est nécessaire”. Il crée la société Brooks Stevens Design qui a été très importante pour l’économie des années 50.
Dans les années 1960, l'obsolescence devient courante. Le constructeur automobile Volkswagen lance même une campagne de publicité sur ce thème. Actuellement l’obsolescence est la base de la croissance économique et de la production industrielle, mais les consommateurs commencent a se rendre compte de cette stratégie et surtout commencent a réagir face à elle.
OBSOLESCENCE PROGRAMMÉE DÉFINITION
OBSOLESCENCE
PROGRAMMÉE DÉFINITION
L'obsolescence
, est un phénomène économique employé par les entreprises depuis le
début du XX siècle.
"Obsolescence: Pour un bien, c'est le
fait d’être déprécié, caduque pour des raisons différente de
celles de son usure physique, ces raisons sont liées au progrès
technique, à l’évolution des comportements humains , de la mode
etc." Dictionnaire Le petit Rober 2008
L'obsolescence
programmée regroupe l'ensemble des outils
utilisés par les entreprises pour réduire
la durée de vie ou d'utilisation d'un produit dans le but augmenter
et de accélérer le taux de remplacement des produits, pour forcer
le consommateur a renouveler et acheter les produits avec plus de
fréquence .
Grâce a cette stratégie le secteur
industriel bénéficie d'une production plus importante, qui stimule
les gains de productivité , créant une économie d’échelle. Le
progrès technique est totalement adapté dans la mesure où il est
utilisé afin d’accélérer l'obsolescence des produits.
Cette technique permet d’avoir un renouvellement constant de la
demande . Cette astuce économique s'effectue en introduisant
un dispositif dans le produit pour le mettre hors d'usage après une
durée d'utilisation déterminée. La plupart des produits qui
existent dans l'actualité sont gérés par cette manœuvre . Du fer
à repasser, jusqu’aux chaussettes, en passant par les imprimantes,
les téléphones, les ordinateurs, les voitures, etc presque
tout les produits nécessaires à la vie courante d'un ménage. Tous
les produits passent par le même mode de production.
Cette ruse fait profiter uniquement
"le mécanisme du profit économique" .Celle-ci entraine toutes
sortes de déséquilibres absurde tant au niveau de la planète que
pour l'homme . Elle implique un effort de recherche et développement,
qui n'a pour but ni d'améliorer la qualité, ni l'usage du produit.
L'obsolescence programmée encourage la consommation sans
limites.
Cette stratégie à beaucoup de
risques tels que de porter préjudice à la réputation du fabricant
attaquant son image de marque, de plus elle implique un pari sur les
parts de marché futures de la firme, c'est à dire prévoir des
produits de remplacements. Nous savons que cette technique ne peut être qu'employé a durée indéterminé du a ses conséquences au niveau
de la planète et pour l'homme.
Il existe différentes plusieurs
sortes d’obsolescence programmée. Certaines impliquent l'ajout
“des défauts” de production au produit vendu ; d’autres plus
psychologiques on pour but d'attaquer , de dévaloriser l’image du
produit auprès des consommateurs en attaquant la marque. Parmi
celles-ci : l'obsolescence par péremption , qui a lieu dans le
domaine alimentaire, l'obsolescence esthétique, puis enfin l'obsolescence indirecte puis par incompatibilité.
MARKETING
En plus de la durée de vie des appareils, déterminée dès leur sortie d'usine par les fabriquants, une 2ème approche consiste à « créer le besoin ». Grâce au marketing, à la publicité, en améliorant ou changeant le produit et son design régulièrement, il s'agit de séduire le consommateur et susciter son désir insatiable pour qu'il ait toujours envie d'acquérir le dernier modèle. C'est l'approche décrite par Brooks Stevens qui régit plus que jamais notre vie moderne de tous les jours.
CONSOMATEURS
Un informaticien possédant une imprimante Epson, lorsque celle-ci a brusquement cessé de fonctionner, s’est rendu compte que la durée de vie d’une imprimante était fixée dès le départ par les ingénieurs. Après quelques recherches sur le net, il a vu qu’il n’était pas le seul à avoir ce problème.
Il s’est alors lancé dans une enquête qui l’a amené à contacter le service client et à se rendre dans divers magasins pour faire réparer son imprimante. Mais les réponses qu’il reçut étaient surprenantes : tous lui ont répondu qu’il était préférable d’acheter une nouvelle imprimante, car cela revenait à moins cher.
Toutefois, il ne s’est pas laissé décourager et a surfé sur des forums à la recherche d’une solution.
Puis, il a finalement trouvé une réponse à son problème : une puce EEPROM mémorise le nombre de pages imprimées (en l’occurrence 18 000, pour son imprimante). Une fois ce nombre dépassé, l’imprimante se bloque automatiquement : elle n’imprime plus rien et affiche le message « une pièce de l’imprimante doit être changée ».
En cherchant encore un peu, il a découvert un petit logiciel libre russe qui lui a permis de remettre ce compteur à 0. Une fois le logiciel exécuté, son imprimante s’est mise à fonctionner sans problème.
Les consommateurs:
Cette pratique ne se limite pas aux produits consommables et aux pièces dérivées. Le même mécanisme d'obsolescence indirecte est possible également pour l'industrie des services et des logiciels. Par exemple, en juillet 2006, Microsoft abandonne le service d'après-vente et de maintenance corrective pour les logiciels Windows 98 et Millenium14. Cette décision implique que, depuis cette date, les bogues et les failles de sécurité ne sont plus corrigés par Microsoft15. Effet secondaire : les consommateurs vont se débarrasser du vieux matériel incapable de faire tourner les versions récentes de Windows (quantité de mémoire vive insuffisante, etc.).
http://fr.wikipedia.org/wiki/Obsolescence_programm%C3%A9e
--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
La Commission Européenne est en charge du sujet mais les différents lobbys seront certainement très efficaces pour faire capoter toute décision d’importance et l’arrêt stricte de cette pratique mortifère pour l’humanité. Il existe un groupe Facebook pour soutenir les consommateurs contre l’infamie que représente l’obsolescence programmée.
http://blogs.mediapart.fr/blog/stephanie-marthely-allard/090912/lobsolescence-programmee-contre-lhumanite
Les associations de consommateurs qui réclament une meilleure information sur la qualité et la longévité des produits, enfin les entreprises européennes qui trouvent là un moyen de récupérer une partie de la confiance perdue et surtout un élément pour prendre l’avantage sur les produits émanant d’entreprises majoritairement américaines ou asiatiques.
http://www.liberation.fr/economie/2012/10/28/l-obsolescence-programmee-un-gachis-organise_856569
---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
una chica de facebook respondiendo a este articulo.
Laura Can:
Très bon article de Libération sur le sujet, peut vous aider pour diffuser l'info. Par ailleurs, moi même travaillant au Cniid, notamment sur ce sujet là, je peux vous confirmer qu'il y a déjà un projet de loi (B Hamon) + une proposition de loi (JV Placé, EELV) qui sortiront en 2013. L'un des axes les plus importants est l'allongement de la durée de garantie de 2 à 10 ans. Quand ces lois seront au Parlement c'est vraiment là qu'il faudra interpeller nos députés et sénateurs pour qu'ils les soutiennent. Tenez vous prêts !
http://www.facebook.com/groups/115666728571951/
---------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Benoît Hamon compte lutter contre l'obsolescence programmée dans l'industrie high-tech, qui renouvelle trop rapidement certaines gammes de pièces et de produits. Il compte en particulier consulter le Conseil national de la consommation sur ce sujet. Mais sa marge de manœuvre pour agir est bien mince.
http://www.numerama.com/magazine/23723-benoit-hamon-veut-lutter-contre-l-obsolescence-programmee-dans-le-numerique.html
--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
esto es lo de cons.
C'est l'attitude des consommateurs qui est responsable de ce système, à savoir qu'ils aiment changer
régulièrement de biens et de services, souvent dans l'espoir d'améliorer leurs conditions de vie.
Ce phénomène se rapproche de celui de la mode . C'est elle qui dicte à bon nombre de gens ce qu'ils doivent acheter et surtout quand. Dans un système où les biens seraient durables, on les utiliserait jusqu'à ce qu'ils soient usés ou cassés. La tendance actuelle vestimentaire serait alors peut-être celle des années 90 avec tout ce que cela implique pour les entreprises productrices.
Ce sont donc elles qui créent la mode, qui pensent aux nouveautés et qui provoquent le besoin irrépressible chez le consommateur de s'approprier la dernière innovation. Ce fut notamment le cas avec la première tablette tactile plébiscité. Aucun besoin n'avait alors été détecté quant à l'utilité d'un tel appareil. La campagne publicitaire a donc su insuer cette nouvelle mode qui a conquis bon nombre d'adeptes.
RESUMEN BREVE DEL VIDEO
Il existe peu d'exemples avérés de ces «sabotages» organisés. Le documentaire Prêt à jeter (1) en cite quelques-uns. Il y a l'histoire, en 1924, du «cartel Phoebus» : alors que les ampoules électriques tiennent en moyenne 2 500 heures, les fabricants limitent leur existence à 1 000 heures. Dans les années 40, le bas nylon subit le même sort. La fibre miracle de Du Pont de Nemours s'avère trop solide pour la santé des affaires. Quelques manipulations chimiques plus tard, les bas filent à nouveau. Plus récemment, une puce bloquait les imprimantes Epson après 18 000 copies…
Il s’est alors lancé dans une enquête qui l’a amené à contacter le service client et à se rendre dans divers magasins pour faire réparer son imprimante. Mais les réponses qu’il reçut étaient surprenantes : tous lui ont répondu qu’il était préférable d’acheter une nouvelle imprimante, car cela revenait à moins cher.
Toutefois, il ne s’est pas laissé décourager et a surfé sur des forums à la recherche d’une solution.
Puis, il a finalement trouvé une réponse à son problème : une puce EEPROM mémorise le nombre de pages imprimées (en l’occurrence 18 000, pour son imprimante). Une fois ce nombre dépassé, l’imprimante se bloque automatiquement : elle n’imprime plus rien et affiche le message « une pièce de l’imprimante doit être changée ».
En cherchant encore un peu, il a découvert un petit logiciel libre russe qui lui a permis de remettre ce compteur à 0. Une fois le logiciel exécuté, son imprimante s’est mise à fonctionner sans problème.
Les consommateurs:
Cette pratique ne se limite pas aux produits consommables et aux pièces dérivées. Le même mécanisme d'obsolescence indirecte est possible également pour l'industrie des services et des logiciels. Par exemple, en juillet 2006, Microsoft abandonne le service d'après-vente et de maintenance corrective pour les logiciels Windows 98 et Millenium14. Cette décision implique que, depuis cette date, les bogues et les failles de sécurité ne sont plus corrigés par Microsoft15. Effet secondaire : les consommateurs vont se débarrasser du vieux matériel incapable de faire tourner les versions récentes de Windows (quantité de mémoire vive insuffisante, etc.).
http://fr.wikipedia.org/wiki/Obsolescence_programm%C3%A9e
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La Commission Européenne est en charge du sujet mais les différents lobbys seront certainement très efficaces pour faire capoter toute décision d’importance et l’arrêt stricte de cette pratique mortifère pour l’humanité. Il existe un groupe Facebook pour soutenir les consommateurs contre l’infamie que représente l’obsolescence programmée.
http://blogs.mediapart.fr/blog/stephanie-marthely-allard/090912/lobsolescence-programmee-contre-lhumanite
Les associations de consommateurs qui réclament une meilleure information sur la qualité et la longévité des produits, enfin les entreprises européennes qui trouvent là un moyen de récupérer une partie de la confiance perdue et surtout un élément pour prendre l’avantage sur les produits émanant d’entreprises majoritairement américaines ou asiatiques.
http://www.liberation.fr/economie/2012/10/28/l-obsolescence-programmee-un-gachis-organise_856569
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una chica de facebook respondiendo a este articulo.
Laura Can:
Très bon article de Libération sur le sujet, peut vous aider pour diffuser l'info. Par ailleurs, moi même travaillant au Cniid, notamment sur ce sujet là, je peux vous confirmer qu'il y a déjà un projet de loi (B Hamon) + une proposition de loi (JV Placé, EELV) qui sortiront en 2013. L'un des axes les plus importants est l'allongement de la durée de garantie de 2 à 10 ans. Quand ces lois seront au Parlement c'est vraiment là qu'il faudra interpeller nos députés et sénateurs pour qu'ils les soutiennent. Tenez vous prêts !
http://www.facebook.com/groups/115666728571951/
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Benoît Hamon compte lutter contre l'obsolescence programmée dans l'industrie high-tech, qui renouvelle trop rapidement certaines gammes de pièces et de produits. Il compte en particulier consulter le Conseil national de la consommation sur ce sujet. Mais sa marge de manœuvre pour agir est bien mince.
http://www.numerama.com/magazine/23723-benoit-hamon-veut-lutter-contre-l-obsolescence-programmee-dans-le-numerique.html
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esto es lo de cons.
C'est l'attitude des consommateurs qui est responsable de ce système, à savoir qu'ils aiment changer
régulièrement de biens et de services, souvent dans l'espoir d'améliorer leurs conditions de vie.
Ce phénomène se rapproche de celui de la mode . C'est elle qui dicte à bon nombre de gens ce qu'ils doivent acheter et surtout quand. Dans un système où les biens seraient durables, on les utiliserait jusqu'à ce qu'ils soient usés ou cassés. La tendance actuelle vestimentaire serait alors peut-être celle des années 90 avec tout ce que cela implique pour les entreprises productrices.
Ce sont donc elles qui créent la mode, qui pensent aux nouveautés et qui provoquent le besoin irrépressible chez le consommateur de s'approprier la dernière innovation. Ce fut notamment le cas avec la première tablette tactile plébiscité. Aucun besoin n'avait alors été détecté quant à l'utilité d'un tel appareil. La campagne publicitaire a donc su insuer cette nouvelle mode qui a conquis bon nombre d'adeptes.
RESUMEN BREVE DEL VIDEO
Il existe peu d'exemples avérés de ces «sabotages» organisés. Le documentaire Prêt à jeter (1) en cite quelques-uns. Il y a l'histoire, en 1924, du «cartel Phoebus» : alors que les ampoules électriques tiennent en moyenne 2 500 heures, les fabricants limitent leur existence à 1 000 heures. Dans les années 40, le bas nylon subit le même sort. La fibre miracle de Du Pont de Nemours s'avère trop solide pour la santé des affaires. Quelques manipulations chimiques plus tard, les bas filent à nouveau. Plus récemment, une puce bloquait les imprimantes Epson après 18 000 copies…
SOLUTIONS
Pourtant, des solutions existent : intégrer dans le prix de l’objet tous ces coûts, utiliser des matériaux bio-dégradables, et enfin la décroissance.
SOURCES
http://blog.aygalenq.net/post/pretAjeter
http://www.commentreparer.com/pages/voir/id/15/Agir-contre-l-obsolescence-programmee-les-solutions
http://www.commentreparer.com/pages/voir/id/15/Agir-contre-l-obsolescence-programmee-les-solutions
jeudi 8 novembre 2012
I-Entreprise
Marketing:
http://framabearn.tuxfamily.org/public/L_obsolescence_programmee.pdf
1-
http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89conomie_d%27%C3%A9chelle#.C3.89conomie_d.27.C3.A9chelle_et_marketing
C'est pour cette raison qu'il est de la co-responsabilité du service marketing de stimuler des offres caractérisées par l'aptitude à générer des économies d'échelle.Le marketing est souvent initiateur des nouvelles offres.
2- http://www.universalis.fr/encyclopedie/publicite/4-publicite-et-societe/
3- L’effet de mode, l’attrait pour la nouveauté sont des phénomènes produits ou nourris par la publicité et qui sont désormais utilisés pour accélérer le renouvellement d’équipements jugés autrefois indémodables et sur lesquels il est difficile de faire valoir un quelconque argument de progrès technologique. Ainsi, pour continuer à vendre des grille-pains, une solution commerciale efficace consiste à créer de nouvelles gammes chaque saison, et de susciter dans le même temps chez le consommateur le besoin d’assortir l’appareil aux nouvelles tendances de la décoration intérieure…
(wikipedia+ http://economie.trader-finance.fr/economie+d+echelle/)
Politique:
1-
La política de sa empresa es un conjunto de normas o reglas establecidas por la dirección de la misma para regular diferentes apartados del funcionamiento de la empresa. . Estas normas en ningún momento pueden contradecir ninguna legislación laboral..
- nouvelles valeurs et nouveaux objectifs, les bien sont plus fragiles « utilisez et jeter » (designer, ingénieurs) à nouvelle génération de consommation.
http://framabearn.tuxfamily.org/public/L_obsolescence_programmee.pdf
1-
http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89conomie_d%27%C3%A9chelle#.C3.89conomie_d.27.C3.A9chelle_et_marketing
C'est pour cette raison qu'il est de la co-responsabilité du service marketing de stimuler des offres caractérisées par l'aptitude à générer des économies d'échelle.Le marketing est souvent initiateur des nouvelles offres.
2- http://www.universalis.fr/encyclopedie/publicite/4-publicite-et-societe/
3- L’effet de mode, l’attrait pour la nouveauté sont des phénomènes produits ou nourris par la publicité et qui sont désormais utilisés pour accélérer le renouvellement d’équipements jugés autrefois indémodables et sur lesquels il est difficile de faire valoir un quelconque argument de progrès technologique. Ainsi, pour continuer à vendre des grille-pains, une solution commerciale efficace consiste à créer de nouvelles gammes chaque saison, et de susciter dans le même temps chez le consommateur le besoin d’assortir l’appareil aux nouvelles tendances de la décoration intérieure…
Production:
Dans l’industrie, la loi des
rendements des décroissants: Lorsque l'entreprise augmente un
facteur de production ( par exemple le travail) et que l'autre
facteur de production ne varie pas, la productivité marginale
devient décroissante au-delà d'un certain seuil: chaque travailleur
supplémentaire produit moins que le précédent. A terme la
production risque de décroître.
Seule l'augmentation de l'autre facteur
(ici le capital) permettra d'augmenter la productivité.
Dans la réalité
les rendements restent constants si l’entreprise augmente tous les
facteurs de production voire sont croissants grâce aux effets
d’échelle.
Les effets d’échelle se produisent lorsque la production augmente et que les coûts fixes sont importants. L’augmentation de l’échelle de production permettra de mieux répartir ces coûts sur chaque produit et ainsi faire baisser le coût moyen de production. Par exemple, faire voler un avion représente un fort coût fixe (carburant, équipage….), l’intérêt de la compagnie aérienne est donc de remplir l’avion pour diviser ce coût fixe par le nombre élevé de passager (quitte à vendre plus de places que celles disponibles pour être sûre que l’avion sera rempli, cette pratique se nomme surbooking).
Les effets d’échelle se produisent lorsque la production augmente et que les coûts fixes sont importants. L’augmentation de l’échelle de production permettra de mieux répartir ces coûts sur chaque produit et ainsi faire baisser le coût moyen de production. Par exemple, faire voler un avion représente un fort coût fixe (carburant, équipage….), l’intérêt de la compagnie aérienne est donc de remplir l’avion pour diviser ce coût fixe par le nombre élevé de passager (quitte à vendre plus de places que celles disponibles pour être sûre que l’avion sera rempli, cette pratique se nomme surbooking).
L'entreprise cherchera à diminuer les
les coûts moyens de production.
Coût moyen
= coût total (= coûts fixe+ coûts
variables) / quantité produite
La naissance des 2 concepts,
l'apparition des chaînes de production à grande échelle et la
volonté des constructeurs de renouveler rapidement les produits
sortis de l'usine étant étroitement liés et sont inhérents au
concept même de l'obsolescence programmée.
La naissance des 2 concepts,
l'apparition des chaînes de production à grande échelle et la
volonté des constructeurs de renouveler rapidement les produits
sortis de l'usine étant étroitement liés et sont inhérents au
concept même de l'obsolescence programmée.
1-
La política de sa empresa es un conjunto de normas o reglas establecidas por la dirección de la misma para regular diferentes apartados del funcionamiento de la empresa. . Estas normas en ningún momento pueden contradecir ninguna legislación laboral..
-Rien ne se répare, il
faut racheter à cause de la surproduction
- économie d’échelle:
(wikipedia+ http://economie.trader-finance.fr/economie+d+echelle/)
- La durée de vie des
produits est fixée par les ingénieurs dès le départ grâce aux
puces misent dans ceux-ci. (imprimentes) Après l’utilisation de la
quantité préétablie l’objet se bloque et ne fonctionne plus.
- stimulant les gains de
productivité (économies d'échelle) et le progrès technique (qui
accélère l'obsolescence des produits antérieurs).
- “
le mécanisme du profit économique ”=une
technique économique
- « Ne - Pas
croître pour satisfaire les besoins mais croître pour croître » Serge
Latouche.- nouvelles valeurs et nouveaux objectifs, les bien sont plus fragiles « utilisez et jeter » (designer, ingénieurs) à nouvelle génération de consommation.
- contraire avec
pays du sud où tout ce répare.
http://www.google.es/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=4&ved=0CDgQFjAD&url=http%3A%2F%2Fperso.univ-lyon2.fr%2F~frecon%2FMASTER_1%2FStrategie.doc&ei=kp6bUKy0O9L14QTG-YGgBQ&usg=AFQjCNEw_fJ7Qc2LCKemripyVOpAUvdvlQ&sig2=SVFQ-IoKgRDS8PFx9F5GpQ
stratégie:
types d'obscolescence=strategie de production
- Obsolescence par péremption ( appliqué au domaine alimentaire) . on présente une date à laquelle le produit sera consideré comme périmé .
- Obsolescence indirecte : manque de compléments sur le marché, par exemple les lecteurs vinyles dans la mesure ou il est difficile de se procurer des cd vinyles désormais.
- Obsolescence esthétique : certains produits sont rendus obsolescents par ”effet de mode ” . Entreprises utilisent les moyens de communication (Internet, radio, Télévision) afin de créer de nouvelles modes et de discréditer d’autres.
- Obsolescence par incompatibilités : observé dans le domaine informatique, certains produits sont rendus obsolescents par le simple fait qu’ils ne peuvent plus être utilisés avec les nouveaux produits lancés. C est lexemple des logiciels, des systèmes d’exploitations,
Obsolescence par péremption
Certains produits possèdent une date de péremption à partir de laquelle ils sont annoncés comme « périmés ». Cela s’applique principalement aux aliments et aux boissons, qui ont une date limite de consommation ou une date limite d’utilisation optimale, ainsi qu’aux produits cosmétiques, pharmaceutiques et chimiques. Cependant, dans certains cas, les produits restent utilisables après cette date. Par exemple, un aliment ayant une date limite d’utilisation optimale risque de voir ses qualités organoleptiques diminuées au-delà de la date indiquée, tout en restant consommable sans risque pour la santé. Une date limite de consommation est par contre plus stricte, car elle indique un risque pour la santé du consommateur s’il utilise le produit au-delà.
L’ignorance de la différence entre date limite d’utilisation optimale et date limite de consommation peut psychologiquement soit entraîner des mises à la poubelle prématurées, soit des prises de risques inconsidérées.
Obsolescence indirecte
Certains produits deviennent obsolètes alors qu’ils sont totalement fonctionnels de par le fait que les produits associés ne sont pas ou plus disponibles sur le marché. C’est le type d’obsolescence programmée le plus courant en ce qui concerne les téléphones mobiles : un téléphone en parfait état devient inutilisable lorsque sa batterie ou son chargeur ne sont plus offerts sur le marché, ou simplement parce que racheter une batterie neuve serait économiquement non rentable. Certains fabricants vont jusqu’à souder la batterie des appareils électroniques pour pousser au renouvellement de l’équipement quand la batterie ne fonctionne plus10. De la même façon certaines imprimantes deviennent de facto obsolètes lorsque le fabricant cesse de produire les cartouches d’encre spécifiques à ces modèles. On peut également citer l’exemple d’un moteur de voiture rendu inutilisable du simple fait qu’il est impossible de trouver des pièces de rechange. Autre exemple, les traceurs à plumes, dont la plupart fonctionnent encore parfaitement, mais dont les outils de traçage ne sont plus fabriqués.
L’arrêt de la production de pièces détachées est un levier puissant à la disposition des industriels. Le choix d’abandonner la production ou la commercialisation des produits annexes (cartouches, pièces détachées, batteries, etc.) complique la tâche de maintenance et de réparation, jusqu’à la rendre impossible.
Cette pratique ne se limite pas aux produits consommables et aux pièces dérivées. Le même mécanisme d’obsolescence indirecte est possible également pour l’industrie des services et des logiciels. Par exemple, en juillet 2006, Microsoft abandonne le service d’après-vente et de maintenance corrective pour les logiciels Windows 98 et Millenium11. Cette décision implique que, depuis cette date, les bogues et les failles de sécurité ne sont plus corrigés par Microsoft. Par cette mesure, Microsoft incite ses clients à acheter la nouvelle version de son système d’exploitation ou de sa suite bureautique tous les deux ans12.[citation nécessaire] Effet secondaire : les consommateurs vont se débarrasser du vieux matériel incapable de faire tourner les versions récentes de Windows (quantité de mémoire vive insuffisante, etc.) ou les recycler en serveurs Linux.
Le fait que les spécifications ne soient pas toutes communiquées, ainsi que des demandes de brevets (comme sur la gestion des noms longs) empêchant des tiers de satisfaire la même demande13, représentent une pression supplémentaire.
Obsolescence par notification
Proche de l’obsolescence indirecte, l’obsolescence par notification est une forme évoluée d’« auto-péremption ». Elle consiste à concevoir un produit de sorte qu’il puisse signaler à l’utilisateur qu’il est nécessaire de réparer ou de remplacer, en tout ou en partie, l’appareil. On peut citer l’exemple des imprimantes qui avertissent l’utilisateur lorsque les cartouches d’encre sont vides. En soi ce mécanisme n’est pas un mécanisme d’obsolescence. Cependant si les cartouches ne sont pas complètement vides lorsque le signal est émis, il s’agit bel et bien d’une obsolescence programmée de la cartouche.
L’aspect insidieux de ce type de péremption forcée réside dans l’interaction entre deux produits : dans l’exemple de l’imprimante, un produit « consommable » (la cartouche) est déclaré obsolète par un autre produit (l’imprimante elle-même). Cette technique est plus efficace lorsque le constructeur produit à la fois la machine et les recharges.
On peut aussi noter le cas des imprimantes affichant un message d’erreur bloquant leur fonctionnement normal (« réservoir d’encre usagée plein ») et où le fabricant n’assure aucun service et invite à renouveler le matériel. L’utilisateur se retrouve avec une imprimante qui ne fonctionne plus et il ne peut aller au-delà de ce message. L’imprimante s’est ainsi rendue inutilisable elle-même et l’utilisateur est contraint de renouveler son matériel ou de nettoyer son imprimante et d’utiliser un logiciel permettant de remettre le compteur d’impressions à zéro.
La Communauté européenne a en revanche interdit désormais la commercialisation de cartouches d’encre à puce électronique refusant tout service après un certain nombre de pages (même après remplissage d’encre), n’y voyant pas d’intérêt pour le consommateur et moins encore pour l’écologie des pays.
Obsolescence par incompatibilité
Principalement observée dans le secteur de l’informatique, cette technique vise à rendre un produit inutile par le fait qu’il n’est plus compatible avec les versions ultérieures. Dans le cas d’un logiciel, le changement de format de fichier entre deux versions successives d’un même programme suffira à rendre les anciennes versions obsolètes puisque non compatibles avec le nouveau standard.
Les changements de formats ou de standards sont souvent nécessaires pour prendre en compte les innovations d’un produit. Cependant ils peuvent aussi être provoqués artificiellement.
On retrouve encore une fois ce type d’obsolescence dans les imprimantes, dans lesquelles les cartouches qui ne sont pas ou plus produites par le fabricant ne peuvent être remplacées efficacement. La raison en est que les cartouches fournies par le fabricant disposent d’un circuit d’identification indiquant à l’imprimante que c’est bien une cartouche officielle. Si ce n’est pas le cas, l’imprimante refusera d’imprimer ou imprimera avec une qualité moindre. Pour parer à cela, il existe des logiciels permettant de passer outre cette protection de l’industriel et permettre l’usage de cartouches reconditionnées (à la maison, ou par des professionnels). À noter que certains vendeurs fournissent directement des cartouches génériques reprogrammées pour simuler une cartouche officielle à moindre coût pour l’utilisateur final.
Du côté d’Apple, le même phénomène se produit. En effet, en 2011, le nouveau système d’exploitation Lion n’intègre plus de module Rosetta qui permettait d’exécuter les programmes compilés pour un processeur Power PC sur un Mac équipé d’un processeur Intel. Ceci se traduit par une incompatibilité des programmes compilés avant 2006. Par ailleurs, la période de 2006 à 2011 est appelé période de transition car les développeurs ont été encouragés à abandonner le Power PC pour l’Intel. Cependant, tous n’ont pas fait ce pas et des programmes datant de cette période ne peuvent être exécutés sur Lion14. L’abandon de Rosetta est contesté car lors du passage de Snow Leopard à Lion, les programmes Power PC devinrent inutilisables. De plus, bien que les programmes les plus populaires aient été convertis, il reste une importante ludothèque, inutilisable aujourd’hui.
Obsolescence esthétique
Certains produits (notamment les chaussures et les vêtements) subissent une obsolescence subjective. Les modes vestimentaires et les critères d’élégance évoluent rapidement et les vêtements perdent leur valeur simplement parce qu’ils ne sont plus « à la mode ». Certains fabricants exploitent ce principe en lançant des opérations marketing et des campagnes publicitaires dont le but est de créer des modes et d’en discréditer d’autres. À noter tout de même l’effet « boomerang » de l’obsolescence esthétique : un objet qualifié de démodé pourrait très bien revenir au goût du jour quelques années plus tard.
DEVELOPPEMENT TECHNOLOGIQUE DES E.:
Il est important de prendre en compte que l'obsolescence programmée permet un fort développement technologiques grâce à la nouveauté et à l'innovation. Cela va pouvoir générer plus bénéfice.Ces changements rapides leur permet de toujours garantir de meilleurs produits. De ce fait, le niveau de vie des consommateurs augmente à chaque innovation car les produits seront de plus en plus complexes, améloriés et plus complets.
- Obsolescence par péremption ( appliqué au domaine alimentaire) . on présente une date à laquelle le produit sera consideré comme périmé .
- Obsolescence indirecte : manque de compléments sur le marché, par exemple les lecteurs vinyles dans la mesure ou il est difficile de se procurer des cd vinyles désormais.
- Obsolescence esthétique : certains produits sont rendus obsolescents par ”effet de mode ” . Entreprises utilisent les moyens de communication (Internet, radio, Télévision) afin de créer de nouvelles modes et de discréditer d’autres.
- Obsolescence par incompatibilités : observé dans le domaine informatique, certains produits sont rendus obsolescents par le simple fait qu’ils ne peuvent plus être utilisés avec les nouveaux produits lancés. C est lexemple des logiciels, des systèmes d’exploitations,
Obsolescence par péremption
Certains produits possèdent une date de péremption à partir de laquelle ils sont annoncés comme « périmés ». Cela s’applique principalement aux aliments et aux boissons, qui ont une date limite de consommation ou une date limite d’utilisation optimale, ainsi qu’aux produits cosmétiques, pharmaceutiques et chimiques. Cependant, dans certains cas, les produits restent utilisables après cette date. Par exemple, un aliment ayant une date limite d’utilisation optimale risque de voir ses qualités organoleptiques diminuées au-delà de la date indiquée, tout en restant consommable sans risque pour la santé. Une date limite de consommation est par contre plus stricte, car elle indique un risque pour la santé du consommateur s’il utilise le produit au-delà.
L’ignorance de la différence entre date limite d’utilisation optimale et date limite de consommation peut psychologiquement soit entraîner des mises à la poubelle prématurées, soit des prises de risques inconsidérées.
Obsolescence indirecte
Certains produits deviennent obsolètes alors qu’ils sont totalement fonctionnels de par le fait que les produits associés ne sont pas ou plus disponibles sur le marché. C’est le type d’obsolescence programmée le plus courant en ce qui concerne les téléphones mobiles : un téléphone en parfait état devient inutilisable lorsque sa batterie ou son chargeur ne sont plus offerts sur le marché, ou simplement parce que racheter une batterie neuve serait économiquement non rentable. Certains fabricants vont jusqu’à souder la batterie des appareils électroniques pour pousser au renouvellement de l’équipement quand la batterie ne fonctionne plus10. De la même façon certaines imprimantes deviennent de facto obsolètes lorsque le fabricant cesse de produire les cartouches d’encre spécifiques à ces modèles. On peut également citer l’exemple d’un moteur de voiture rendu inutilisable du simple fait qu’il est impossible de trouver des pièces de rechange. Autre exemple, les traceurs à plumes, dont la plupart fonctionnent encore parfaitement, mais dont les outils de traçage ne sont plus fabriqués.
L’arrêt de la production de pièces détachées est un levier puissant à la disposition des industriels. Le choix d’abandonner la production ou la commercialisation des produits annexes (cartouches, pièces détachées, batteries, etc.) complique la tâche de maintenance et de réparation, jusqu’à la rendre impossible.
Cette pratique ne se limite pas aux produits consommables et aux pièces dérivées. Le même mécanisme d’obsolescence indirecte est possible également pour l’industrie des services et des logiciels. Par exemple, en juillet 2006, Microsoft abandonne le service d’après-vente et de maintenance corrective pour les logiciels Windows 98 et Millenium11. Cette décision implique que, depuis cette date, les bogues et les failles de sécurité ne sont plus corrigés par Microsoft. Par cette mesure, Microsoft incite ses clients à acheter la nouvelle version de son système d’exploitation ou de sa suite bureautique tous les deux ans12.[citation nécessaire] Effet secondaire : les consommateurs vont se débarrasser du vieux matériel incapable de faire tourner les versions récentes de Windows (quantité de mémoire vive insuffisante, etc.) ou les recycler en serveurs Linux.
Le fait que les spécifications ne soient pas toutes communiquées, ainsi que des demandes de brevets (comme sur la gestion des noms longs) empêchant des tiers de satisfaire la même demande13, représentent une pression supplémentaire.
Obsolescence par notification
Proche de l’obsolescence indirecte, l’obsolescence par notification est une forme évoluée d’« auto-péremption ». Elle consiste à concevoir un produit de sorte qu’il puisse signaler à l’utilisateur qu’il est nécessaire de réparer ou de remplacer, en tout ou en partie, l’appareil. On peut citer l’exemple des imprimantes qui avertissent l’utilisateur lorsque les cartouches d’encre sont vides. En soi ce mécanisme n’est pas un mécanisme d’obsolescence. Cependant si les cartouches ne sont pas complètement vides lorsque le signal est émis, il s’agit bel et bien d’une obsolescence programmée de la cartouche.
L’aspect insidieux de ce type de péremption forcée réside dans l’interaction entre deux produits : dans l’exemple de l’imprimante, un produit « consommable » (la cartouche) est déclaré obsolète par un autre produit (l’imprimante elle-même). Cette technique est plus efficace lorsque le constructeur produit à la fois la machine et les recharges.
On peut aussi noter le cas des imprimantes affichant un message d’erreur bloquant leur fonctionnement normal (« réservoir d’encre usagée plein ») et où le fabricant n’assure aucun service et invite à renouveler le matériel. L’utilisateur se retrouve avec une imprimante qui ne fonctionne plus et il ne peut aller au-delà de ce message. L’imprimante s’est ainsi rendue inutilisable elle-même et l’utilisateur est contraint de renouveler son matériel ou de nettoyer son imprimante et d’utiliser un logiciel permettant de remettre le compteur d’impressions à zéro.
La Communauté européenne a en revanche interdit désormais la commercialisation de cartouches d’encre à puce électronique refusant tout service après un certain nombre de pages (même après remplissage d’encre), n’y voyant pas d’intérêt pour le consommateur et moins encore pour l’écologie des pays.
Obsolescence par incompatibilité
Principalement observée dans le secteur de l’informatique, cette technique vise à rendre un produit inutile par le fait qu’il n’est plus compatible avec les versions ultérieures. Dans le cas d’un logiciel, le changement de format de fichier entre deux versions successives d’un même programme suffira à rendre les anciennes versions obsolètes puisque non compatibles avec le nouveau standard.
Les changements de formats ou de standards sont souvent nécessaires pour prendre en compte les innovations d’un produit. Cependant ils peuvent aussi être provoqués artificiellement.
On retrouve encore une fois ce type d’obsolescence dans les imprimantes, dans lesquelles les cartouches qui ne sont pas ou plus produites par le fabricant ne peuvent être remplacées efficacement. La raison en est que les cartouches fournies par le fabricant disposent d’un circuit d’identification indiquant à l’imprimante que c’est bien une cartouche officielle. Si ce n’est pas le cas, l’imprimante refusera d’imprimer ou imprimera avec une qualité moindre. Pour parer à cela, il existe des logiciels permettant de passer outre cette protection de l’industriel et permettre l’usage de cartouches reconditionnées (à la maison, ou par des professionnels). À noter que certains vendeurs fournissent directement des cartouches génériques reprogrammées pour simuler une cartouche officielle à moindre coût pour l’utilisateur final.
Du côté d’Apple, le même phénomène se produit. En effet, en 2011, le nouveau système d’exploitation Lion n’intègre plus de module Rosetta qui permettait d’exécuter les programmes compilés pour un processeur Power PC sur un Mac équipé d’un processeur Intel. Ceci se traduit par une incompatibilité des programmes compilés avant 2006. Par ailleurs, la période de 2006 à 2011 est appelé période de transition car les développeurs ont été encouragés à abandonner le Power PC pour l’Intel. Cependant, tous n’ont pas fait ce pas et des programmes datant de cette période ne peuvent être exécutés sur Lion14. L’abandon de Rosetta est contesté car lors du passage de Snow Leopard à Lion, les programmes Power PC devinrent inutilisables. De plus, bien que les programmes les plus populaires aient été convertis, il reste une importante ludothèque, inutilisable aujourd’hui.
Obsolescence esthétique
Certains produits (notamment les chaussures et les vêtements) subissent une obsolescence subjective. Les modes vestimentaires et les critères d’élégance évoluent rapidement et les vêtements perdent leur valeur simplement parce qu’ils ne sont plus « à la mode ». Certains fabricants exploitent ce principe en lançant des opérations marketing et des campagnes publicitaires dont le but est de créer des modes et d’en discréditer d’autres. À noter tout de même l’effet « boomerang » de l’obsolescence esthétique : un objet qualifié de démodé pourrait très bien revenir au goût du jour quelques années plus tard.
DEVELOPPEMENT TECHNOLOGIQUE DES E.:
Il est important de prendre en compte que l'obsolescence programmée permet un fort développement technologiques grâce à la nouveauté et à l'innovation. Cela va pouvoir générer plus bénéfice.Ces changements rapides leur permet de toujours garantir de meilleurs produits. De ce fait, le niveau de vie des consommateurs augmente à chaque innovation car les produits seront de plus en plus complexes, améloriés et plus complets.
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